Une traverser de campagne (PV: Yuki)

Vaste était les champ face a moi, je marchais déjà depuis un certain nombre d'heure, j'étais vêtu d'une cape noir, longue, pratiquement identique a celle que portait les membres de la lune rouge, a le seul différence que seul le noir était présent sur la cape. J'avais tout de même garder le chapeau de paille, celui-ci me couvrait le haut du visage. Le soleil tapait en cette douce mâtinée d'été, les champ dorée de leurs culture reflétait l'immensité de la beauté du soleil, je m'arrêtais soudain, fixant l'horizon, a quelque kilomètre de la un petit village se tenait, j'espérais pouvoir y passé quelque jours afin de récupérer mes forces, je retirais lentement mon chapeau, dévoilant mon visage cernés, d'un geste je détachais mon bandeau qui brillait sous les rayon du soleil, je le regardais un instant de mes yeux noir, sombre.

'Adieux ancienne vie' Voila la dernier pensé que j'eus en jetant le bandeau au sol, une nouvelle vie s'offrait a moi, une existence plus tranquille, plus sereine, j'allais pouvoir agir comme bon me semble. Je savais maintenant Sasuke entre les main du démoniaque Tobi, les prochaine années seraient sans aucun doute des plus mouvementé, c'était pourquoi je préférais passé pour un mort, ainsi personne ne s'attendrait a ma venu le jour ou j'arriverais.

Mais la seul chose qui contait actuellement était de préserver mon identité, m'en inventer une nouvelle pour mieux me fondre dans la masse. Le village que j'approchais était tout petit, un village de fermier, a plusieurs kilomètre de Konoha, un village sans encombre, sans histoire ou l'hospitalité était sans égal, un village qui était parfait pour moi et mes intentions. Personne ne feraient vraiment attention a moi ou au faite que je ressemble au criminel le plus rechercher de Konoha, bien que je ne l'était plus maintenant, ici tant que je ne créais pas de problème, personne ne poserait de question.

Je repris ma marche lente, reposant d'un geste souple et ample le chapeau de paille sur mon visage, car précaution était mère de sureté et les rayon du soleil m'éblouissait quelque peu, donc le chapeau atteignait légèrement cette gène. Il ne me fallut moins d'une demi heure pour arriver dans le village qui détenait 1 auberge restaurant et une trentaine de maison, je n'avais pas d'argent sur moi, j'allais proposé mes service pour pouvoir loger dans l'auberge. Je pénétrais les lieux, la salle était bien éclairer, de plus si on ajoutait les lueur du soleil qui traversait les fenêtres, plus aucun coin d'ombre n'existait. Mon entrez avait été remarquer, la plus part des gens était des abituer qui venait boire un petit coup avent de commencer leur dur la beur, moi je n'étais pas la pour crée de problème. Je en dévisageait donc personne, du moins pas de manière abrupte, tout mes regards étaient porter dans la finesse, je pris place au comptoir, demandant un simple verre d'eau.

Surement une ou deux personne allait venir me parler, car même si dans se village l'hospitalité était de mise, ils étaient aussi des gens très curieux, a moins que se en soit le ninja au fond de la salle qui viendrait, quand a moi je n'avais pas retirer cette cape qui me couvrait le bas du visage, ni se chapeau fait de paille qui me couvrait mes yeux encore sombre...

--------------------

De préférence quelqu'un pour qui Itachi et inconnu, ou pas capable de le reconnaitre maintenant. (prenez en conte le faite que je soit bien couvert^^)

Un jour ensoleillé, un tel moment, où l’Uchiha en profita pour s’entrainer loin de tout bruit, loin de la ville. Des plaines à perte de vue, une jeune femme seule à au beau milieu de toute cette étendu de végétation. Yuki s’étira pour réchauffer ses muscles, histoire de commencer à prendre soins de son corps. Habillé d’un simple tope de sport et d’un short, la belle commença à faire son sport. Commençant par des redressements assit pou finir à faire du taijutsu dans le vide, puis à faire des coups de passe avec ses deux katana. Cet entrainement était si bien fait, avec souplesse, agilité, sérieux, tel une vrai fanatique de combat. Bientôt midi, déjà quelques heures de passer à s’entrainer, il était temps de prendre une petite pose et de recommencer. Oui, la jeune femme avait l’intension de prendre se jour off et de répéter sa petite routine toute la journée. Assise dans l’herbe, la tête légèrement par derrière. La petite fleure se laissa bercer par la douce brise qui se manifesta, emportant avec elle une odeur familière, celle d’un bois brulé, de la nourriture qui lui donna soudain un envie de manger. Pourquoi la faim existait-elle ? La fatigue et tous ces petits inconvénients qui font en sorte de nous rendre faible à tout moment. Dans un soupire, elle attrapa ses armes et les traina dans ses mains et comme toujours dans une démarche non chaland, la petite neige se dirigea dans le petit village non loin de son lieux d’entrainement.

Sur son chemin, elle remarqua une chose brillée au sol. Sur le coup, elle pensa que c’était du à son collier qui reflétait la lumière mais ce qui ce trouva à ses coté était autre que son collier. Mais bien un bandeau frontal. Celui-ci était de konoha et il était rayé, ce qui mise la belle sur surveillance des lieux. Celui ou celle qui était propriétaire de ce bandeau et si Yuki retrouve se petit(e) déserteur (se) allait le payer cher si il oserait se mettre devant la plus grande sannin que le monde shinobi connaissait. Katana d’une main, le bandeau de l’autre, elle reprit sa marche vers le petit village qu’elle connaissait très bien.

Quelques minutes de marche c’était écouler. Les deux pieds maintenant dans le petit village fermier, Yuki prit cape vers le lieu dont elle s’arrêta toujours pour y passer une ou deux journées, donc les gens du coin la connaissaient très bien. Dû fait à son entrer dans le petit village, tous la salua. Deux trois pas et elle rentra dans la petite auberge. À sa grande surprise, peut de gens y était, ce qui était peut normal. Des personnes ici et par là prenant le un petit boire avant de partir pour les récoltes. En face d’elle se trouva le comptoir, d’où se tenait une veille dame qui ne prit pas le temps de laisser à la douce de s’asseoir qu’elle se projeta sur elle pour lui donner la bise.

- Yuki!! Que ça fait longtemps que je ne t’es pas revue! On mon dieu tu es plus belle de jour en jour!

La petite neige ne fit pas grand-chose que sourire et ce laissé donner la bise pour ne pas être mal polie.

- Oh! Tu devrais allez toute suite prendre une douche…

- J’ai prévue de m’entrainer toute la journée

- Hmhmmh! Tu ne changeras donc jamais ma petite.

La kunoichi haussa les épaules en voulant dire qu’elle n’en pouvait rien et alla s’asseoir au comptoir, laissant sur celui-ci ses deux armes et le bandeau qu’elle avait trouvé. Non loin d’elle se trouva un drôle de personnage camouflé par une longue cape noir et d’un chapeau de paille qui ressemblait étrangement à celui de cette organisation maudite. Ce qui piqua sa curiosité, c’était l’aura du chakra de ce jeune inconnu, il lui semblait plutôt familier. Dans ses songes, la petite princesse prise le verre d’eau qu’on lui donna sans même l’avoir demandé, puis réfléchissait. Soudain, quelqu’un lui tira le bras. C’était le petit garçon qui voulait toujours s’entrainer avec elle. Cependant, pour le moment l’envie de s’occuper d’un gamin ne lui donnait pas réellement l’envie. D’un geste tout à fait calme, elle attrapa le bandeau frontal et l’attacha alentour de la tête du gamin.

- Je te le donne…Mais promet moi une chose, garde le juste pour toi… Ne le montre à personne.

- Pourquoi ?

- Parce que, c’est dangereux de se promener avec se tipe de bandeau rayé.

- Ok! Je te le promets!

Elle lui fit un joli sourire et se releva, prenant soin de demander à sa ‘’mamie’’ de mettre ses katana derrière le comptoir, puis prise son verre d’eau et se dirigea dehors, derrière l’auberge pour avoir un peut d’ombre. Assise par terre, le dos contre le mur froid, les yeux clos, sirotant son eau, la jeune femme méditait tranquillement jusqu’à temps qu’elle sente une présence l’accompagné.

En réalité j'avais été plus que médisant, personnes n'étais venu, même pas cette femme, Kunoichi qui me disait vaguement quelque chose, brune, le teint pale, de magnifique lèvres, sont visage était familier, mais il était impossible pour moi de savoir ou pour la dernier foi je l'avais vue, et sa ne pouvait être une Uchiha, j'avais réduit a néant le clan dit maudit depuis se jour. Elle était armé et semblait bien connaître les gens, et elle tenait un bandeau rayer, mon bandeau rayer, je fronçais les sourcil, j'avais peut-être été suivit... Je buvais mon verre d'eau me retournant de nouveau vers le bar, quand soudain j'entendis se que je ne crue plus entendre '
- Yuki!! Que ça fait longtemps que je ne t’es pas revue! On mon dieu tu es plus belle de jour en jour!' Impossible sa ne pouvait être elle, celle que j'avais aimer tout au long de ma jeunesse, celle que j'avais tuer d'un seul geste. Je repris mon calme, finissant mon verre, j'étais perdu dans le doute, il et vrai qu'elle lui ressemblait, encore plus belle cas l'époque ou elle aurait du être mienne. Je respirait avec une total irrégularité, pour la 2eme foi de ma vie, pour la première foi depuis le fameux massacre, il fallait que je soit sur, et c'est au moment ou je me levais que je m'aperçus qu'elle n'était plus dans le bar.

J'approchais de la vielle dame qui semblait intime avec la perle qui avait illuminer mon cœur durant mon enfance et même après, la seul chose avec mon frère qui m'avait convaincu que j'avais un cœur. Je me tenais droit face a la dame bien plus âgée que moi, d'un ton calme et doux et d'un geste amical, je lui attrapait sa main afin qu'elle ne s'éloignent pas.

Excusez moi Madame, ou et passé la jeune femme qui discutait avec vous, il faut que je lui parle d'une chose importante, j'ai vue qu'elle était ninja, et l'aide de Konoha ne serait peut-être pas de trop pour mon problème.

J'étais rester poli et respectueux, la dame attrapait ma joue, la serran comme on le fait au enfant. c'est yeux brillait et sons visage portait un sourire qui avait 'air de jamais quitter sont visage consumer par la vieillesse.

Oh comme vous êtes mignon mon bon jeune homme, vue devez faire allusion a Yuki, elle a du allez prendre l'air dehors, elle le fait souvent, elle se place derrière l'établissement, bonne chance pour votre problème.

Je le remerciais le sourire pendu aux lèvres, et sorti de l'établissement âpres alors laisser quelque ryos sur le comptoir. Il était midi, le soleil était presque au point d'orgue de sont immensité, chaque rayon qu'il émettait touchait mon corps, je regardais a droit a gauche, rien aucune présence, je détournais mon corps pour allez longer les murs pour atteindre l'opposé du bâtiment. Âpres quelques seconde de marche, je pouvais voir la jeune femme, elle se tenait en tailleur au sol, et semblait méditer, elle m'avait sûrement repérer vue que je ne cachais en rien ma position, c'était comme pur lui montrer que je n'étais pas la dans un but néfaste, a une 10 ene de mettre d'elle je stoppais ma marche, l'observant, elle était que très peu vêtu, laissant apparaître ces longue jambe et une silhouette a faire rêver. Son ventre plat et musclé laissait apparaître une fine cicatrice au niveau du foie, il n'y avait plus de doute c'était elle, elle était devenu vraiment belle, une fleur avait ouvert ces pétales sur sa beauté, un véritable cadeau pour le monde.

Bonjour... Yuki.... Comment a tu survécu?

Ma voie douce se retenait de trembler par l'émotion, car oui j'étais ému, heureux qu'elle soit vivante même si j'avais peu de chance qu'elle me pardonne mon geste, mais une infime parti de moi gardait cette espoir comme l'espoir de la revoir un jour, après tout, peut-être que les dieu m'avait pardonner.

Être sannin n’était pas de tout repos et pour les fois qu’elle réussissait à avoir un peut de temps libre seule, il y avait toujours quelque chose qui l’empêcha de méditer. Aujourd’hui, elle était mieux que d’habitude, soit, plus heureuse que son être neutre. Le fait de ressentir la présence de l’inconnu dans toute sa splendeur la mise moins sur ses gardes même si cela ne pouvait se déduire sur son comportement, seul quelqu’un la connaissant du plus profond de son petit être pouvait le savoir. Doucement, elle ouvrit un œil, puis l’autre et de ses yeux ténébreux, Yuki examina l’arrivant. Grand, voir deux tête plus qu’elle, son visage cacher par sa longue cape noir et son chapeau de paille. Il n’était pas difficile de reconnaître que c’était l’homme au comptoir, qu’es-ce qu’il voulait ? Dans un soupire, la douce se releva se mettant à la même hauteur que son compagnon de solitude. Une brise légère vire caresser son doux visage, faisant virevolter ses petite mèche rebelle. Cette brise venait de face à elle, donc emportant avec elle l’odeur de l’homme qui se trouvait à un dixième de sa personne. L’odeur corporel du jeune homme réveilla des souvenir enfoui qui lui donna un mal de tête plutôt raisonnable mais qui se transforma en véritable furie à l’entendu de sa voix.

- Bonjour... Yuki.... Comment a tu survécu?

Voilà ce qui lui dit. Survécu de quoi ? Qu’es-ce qui voulait bien dire ? Et le fait que son visage soit caché par se satané chapeau de paille qui à chaque mouvement de vent, une petite clochette se mettait à titiller. Une main sur son front, un œil fermé par la douleur que produisait son cerveau. D’un geste vif et sans aucune gêne, ni de peur. La magnifique kunoichi attrapa le chapeau et le retira, puis sans même vraiment porter attention sur le visage toujours inconnu, elle le frappa en plein gueule, mettant à terre une puissance qu’elle ignorait. Sharingan activé, démontrant ce qui était sensé être sacré et protégé par konoha. Cependant, son pied était sur la gorge d’un clone trop évidant et ci facile à apercevoir lorsqu’on est Uchiha. Sans se retourner, par simple réflexe, son bras se releva, sa main s’ouvrit pour se resserrer sur une gorge. Tout c’était passer si vite qu’elle se surprenait elle-même. Une telle vitesse, de tel réflexe inconnu avait été maintenant révéler à la petit fleure. Maintenant, aucun doute, la gorge qui était dans sa main était bien et bel au vrai. Son poult était toujours calme mais battait au même rythme que Yuki, comme s’il était connecté. La pupille rouge sang rivé sur le visage du clone avant qu’il disparaisse. Sa main se resserra laissant voir sa haine.

- Te faire passer pour mort est complètement inutile, tous sait que tu es toujours en vie… Et aujourd’hui, tu es venu finir la tâche que tu as crue terminé ?

Sa voix n’était pas joyeuse, ni colérique, neutre. Aucune émotion, aucune amour était lise tant dans sa voix que sur son visage. Son mal de crâne était toujours dans le même état, lui donnant l’impression que chacune de ses cellules éclataient une par une. La jeune femme lâcha sa prise sur la gorge d’Itachi tout en se laissant tomber à genoux. Ses deux mains allèrent se rejoindre pour s’installer sur sa tête. La petite neige croyait mourir à petit feu, s’en était insupportable. Pourquoi devait-elle le revoir… Elle qui croyait l’avoir oublié et détesté. Le fait aussi qu’elle n’avait pas la force de se battre contre lui, de le détruire une bonne fois pour tout. Pour enfin mettre fin à tout ses rêves… Ce n’était guerre son mal de tête qui lui empêcha de se battre jusqu’à en mourir mais bien une chose qu’elle croyait avoir perdu depuis le massacre, son cœur.

En effet je ne me déplaçais jamais vers un potentiel ennemi sans précautions, même si je ne craignais pas Yuki, même si je ne craignais personnes, j'étais d'un naturel méfiant, ainsi le temps qu'elle s'approche, j'avais remplacer mon corps par un clone et je m'étais retrouver derriere elle, Kunai dans ma main, très vite elle perçu la supercherie, le clone ne pu éviter le coup de point et sa main vint attraper mon colle, la lame froide de mon Kunai se tenait contre la grosse veine au niveau de sont poignet, je souriais, ainsi elle m'avait reconnu, elle ne m'avait pas oublier et vue sa rapidité elle était devenu très forte. Peut-être qu'elle nourrissait la même haine qui avait fait de Sasuke se qu'il était aujourd'hui, la vengeance était le meilleur boost a la puissance, me tuer était peut-être sont but....

Le soleil tapait avec ardeur, mon visage couvert me protégeait des rayons, mais elle semblait affecter , sont visage semblait toucher par une douleur en même temps que sa voie retentissait dans l'air. C'est paroles me surprirent, ainsi Konoha était déjà au courent du faite que je soit 'Mort' et elle ajoutait que tout le monde était au courent du contraire, se qui était tout bonnement impossible, j'avais été méticuleux sur tout les points, il était impossible qu'on découvre la supercherie, du moins pas avent un bon moment. Sa dernier phrase me mit un boule au ventre, non je n'étais pas la pour terminer le travail, après tout l'ordre de la tuer me venait de Konoha et vue sont statu social, Konoha avait continuer de la couvé, donc se n'était pas ou plus une cible ou une ennemi de Konoha. La douleur semblait plus présente, plus forte, les rayon du soleil n'aidait pas, ces genoux entrait au contact du sol, ces main joignit sont visage.

Je me tenais toujours droit devant l'être que j'avais aimer plus que ma vie et qu'au vue de se que me montrait mon cœur, j'aimais encore, la brise douce et chaude faisait cligner les petites boule qui pendait a mon chapeau de paille, l accompagnait ainsi la belle dans sa douleur. Je rangeais la lame froide du Kunai, la gardant tout de même a porter.

Tu sais aussi bien que moi que si j'étais venu dans le but de te tuer.... Tu serait morte!

La froideur de ma voie n'avait pas disparue même avec cette rencontre plus d'inopinée avec cette femme qui aurait du m'accompagner tout au long de ma vie. Le destin en avait décidé autrement mais aujourd'hui, aujourd'hui peut-être que le destin avait décidé qu'on se retrouve, peut-être que les dieu me remerciait du sacrifice que j'avais du faire pour un village qui n'était même pas au courent de se que j'avais fait pour lui. ma voie se fit plus douce.

Relève toi ma belle, même étant enfant tu ne tombait pas aussi facilement devant moi, serais-tu devenu plus faible cas l'époque...?

Et oui je trouvais même le temps de lui faire des petite boutade, bien que le moment n'y était pas propice. voyant sa peine a se relever je me mit a sa taille lui caressant la joue du révère chaud de ma main, qu'elle était devenu belle, qu'elle semblait être devenu forte. Je l'aimais encore, il n'y avait aucun doute possible, j'étais désireux de tout lui dire, de lui raconter ma vie au sein de cette organisation de pourriture, lui dire pourquoi le massacre avait été orchestré, mais elle n'était sans doute pas prête a écouter cette vérité....

Veux tu que je te porte a l'intérieure, amour...

En effet, c'était mon amour, un amour que j'avais crue avoir tuer, maintenant qu'elle était la, même si elle me haïssait au plus au points, je voulais lui montrer que je l'aimais encore, je n'étais pas la pour me faire pardonner, non, j'étais la pour profiter de la chance que le destin m'avait offert, celui d'être heureux avec celle qui était pers destiner a porter mes enfants.

Toujours agenouillé par terre, la tête entre les mains. La jeune kunoichi essaya tant bien que mal de penser à autre chose que se fichu mal de tête. Il était rare les gens qui survivaient au mangekyou et de plus, rare de s’en sortir avec que de simple mal de tête chronique. Plusieurs médecin lui avait avoué que normalement, les gens pouvait en survivre mais avec des séquelles qui pouvait les rendre fou. Heureusement, que Yuki était une femme forte de nature…. Même si pour le moment, elle ne le démontrait pas vraiment…

- Tu sais aussi bien que moi que si j'étais venu dans le but de te tuer.... Tu serais morte!

Surement, dans le cœur de la petite neige, il était clair que même pour ce qu’il avait fait, elle n’aurait jamais eue le courage de l’affronter pour de bon, ce qui l’entrainerait au gouffre de la mort dès le combat débuté. C’était complètement inexplicable, il y avait deux secondes, elle l’haïssait pour mourir et là, la haine, le goût de lui écraser le visage contre un mur avait disparut… Laissant à ses yeux une femme faible. Si au moins, elle pouvait avoir une explication de sa part pour un tel acte ? Peut-être que tout deviendrais claire, peut-être le dégoût envers lui aurait de nouveau laissé place à l’amour qu’elle enfuie au fin fond de son cœur. Sauf les mots qui suivirent lui déplus. Elle en avait assez d’entendre étant jeune son père lui dire qu’elle était faible…. Qu’il devait lui dire aujourd’hui, ce qui n’aidait pas à sa situation du moment. Toute fois, la petite fleure se rappela d’une chose.

-- Flash back –-

Une nuit de plaine lune, comme d’habitude, Yuki et son père avait eu une querelle. Complètement hors d’elle, pleurant toute les larmes de son corps, la petite Uchiha c’était réfugié à l’endroit fétiche de leur connaissance. À genoux, les mains devant le visage, elle fit sortir le tout. La tristesse se changea en haine ce qui entraina la jeune gamine à frapper tout ce qu’elle pouvait. Soudain, une chose, quelqu’un l’avait arrêté et la serrer contre lui. Dos à cette personne, Yuki ne pouvait voir le visage mais juste au souffle est avait reconnu Tachi.

-- Fin flash back –-

Il était vrai, qu’à chaque fois qu’elle avait besoin de lui, il était là, sortant de nulle part pour venir la consoler etc.… Et aujourd’hui, il était là au moment ou son esprit sans le vouloir avait besoin de lui. La main douce et chaleureuse de celui qu’elle aimait ou avait aimé la sorti doucement du gouffre. Ses petites mimines la quittèrent. Sa main gauche alla se poser sur sa cuisse, tant qu’à l’autre, elle alla prendre le chapeau de paille, le soulevant et ainsi mettre à découvert se visage qui lui avait manqué. Toujours aussi douce, elle le mise par terre avant d’un geste plutôt hésitant sur le coup, lui caresser à son tour sa joue. Ses yeux ténébreux rentrèrent en contacte avec ceux de l’Uchiha. Il était maintenant temps, de répondre à ça question non répondu. À vrai dire, était-elle prête à entendre la version des fais, était-elle capable de le croire, de lui faire confiance? À vrai dire, non.

- Veux tu que je te porte a l'intérieure, amour...

Ma belle avait passé, étant habitué de ce le faire dire. Cependant, amour lui donna un pincement au cœur. Jouait-il avec ses sentiments ? En tout cas, s’il n’était pas venu pour terminer le travaille physiquement, il était entrain de la tuer de l’intérieur. Immédiatement à l’entente de ces mots, tout geste de tendresse c’était stoppé, Yuki était sur ses jambes, prête à lui tourner le dos. Sans crier garde, la belle kunoichi c’était évaporer dans un éclat de fumé. Du haut de son toit, la jeune femme avait tout examiné dans les moindres détailles avait de disparaître à son tour.

Sautant de toit en toit, le cœur noué, piquant dans un chemin contraire à celui de son arrivé. Comme une flèche, le décor se transforma en vaste champ. Au milieu de se désert végétaux, il ce trouvait un arbre, grand, beau et fort. Diminuant le rythme, pour finalement s’arrêter complètement sous l’ombre rafraichissante du grand roi des lieux. Maintenant assise au pied du tronc, les jambes repliées, ses bras les entourant. Le front contre ses genoux, le bas du visage dans le vide. Ses muscles se décontractèrent, puis des larmes roulèrent le long de ses douces joues. Positionner tel une gamine en chagrin, la petite Yuki était totalement dans ses pensé, essayant de remettre l’ordre dans son être de jeune femme. Amour, ma belle, ces mots c’était pour la blessée ? Ou c’était parce qu’il l’aimait ? Elle, l’aimait-elle autant parmi cette haine ? Pourquoi l’aimer quand elle faisait partie des victimes du clan ? Tant de questions sans réponse…

Elle ne disait, seul des geste, sa main poser sur la cuisse, l'autre mains prenant mon chapeau et mettant mon visage a découvert, les rayon du soleil m'éblouir quelque peu, mais yeux sombre transperçait les sien, comme elle était belle, j'aurais tout donner pour pouvoir lui effleurer les lèvres des miennes, je sentais aussi son odeur, douce et fraîche, si je m'étais écouter je lui aurait fait l'amour, ici même sur l'herbe, mais je me retins, par respect pour elle. Elle déposait le chapeau au sol, sa main s'approchait doucement de ma joue, mais elle arrêtait sont geste, je fronçais les sourcil, mon envie de l'embrasser était a sont comble, mais tout se stoppait net. Elle disparue comme les ANBU le faisait si souvent, je me retournais, mes yeux était passé du noir au rouge, je l'observait elle était sur un toit.

J'entrepris de la suivre, j'étais ancien chef ANBU spécialisé dans l'assassina et la traque, il m'étais facile de la poursuive, peu importe sont niveau, personne ne pouvait me fuir. c'est ainsi que je me retrouvait a la suivre, mais moi du sol afin qu'elle ne perçoivent pas la filature. nos pas nous avait mener sur un champ emplie de buisson et autre petit arbuste, un arbre trônait au milieu, dans mouvement rapide, je me retrouvait au pic de cette arbres, observant Yuki arriver, car oui je l'avais dépasser dans la course. Ainsi aussi furtivement que le plus puissant des assassin, je la regardais arriver.

Elle repliait c'est jambe sur elle même s'appuyant sur le tronc, elle était tremblante, comme une enfant qui venait de perdre ces parents, et même dans cette état de faiblesse, elle en restait magnifique. D'un bon, je fit un salto, pour atterrirent dos a elle sur les pieds, mes cheveux c'était détacher dans le este et flottait au vent, je comprenais se qu'elle ressentait, j'avais essayer de lui retirer la vie tout en lui disant que je l'aimais, qu'elle chose horrible, je m'en rendais vraiment conte maintenant. lentement je me mit face a elle, le regard triste et sinserre.

Yuki... Je ne peu m'expliquer, je ne peu expliquer mes actes, mais je peu te dire que je ne les et pas voulus, je regrette d'avoir essayer de te tuer, je regrette d'avoir éliminer tout c'est gens, mais j'étais obliger, il en valait la survit de notre monde....

Je fermais les yeux, lâchant un long soupire, je m'approchais d'elle ne me guidant au grès du vent, une foi assez proche, je rouvris les yeux et me plaçait en tailleurs face a Yuki, ma mains se collait a sa joue dans une formidable caresse.

Je ne demande pas le pardon, je ne le mérite sans doute pas, mais j'aimerais récupérer une chose que j'ai perdu.... ton amour... Le mien ne c'est jamais éteint, je t'aime Yuki, je donnerais ma vie pour toi, dalleurs si pour te montrer a qu'elle point je t'aime, je doit mourir de t'est main, et bien tue moi maintenant...

Ma voie était légèrement tremblante, ma respiration était saccadé, mes yeux était de nouveau noir et fixait sont doux et beau visage, j'approchais ma tête, voulant lui effleurer la bouche de mes lèvres, si je devais mourir, j'espérais avoir une dernier foi le droit de goûter le goût sucré de sa bouche parfaite...

Le temps était calme mais sombre. Les yeux clos, pleurant la tristesse et la douleur du temps, Yuki resta là, sous l’arbre en entendant que la mort vienne la chercher. Tant de chose c’était passé, tant de haine, tant de blessure pour finalement démontrer une faille, une faiblesse qu’elle avait pourtant rayé de son cœur… Itachi Uchiha. Dans son monde, plus rien ne pouvait l’atteindre, ignorant tout ce qui se trouvait autour d’elle, elle pensait tout en se détruisant. Même si la belle avait remarqué la présence devant-elle de celui qu’elle avait aimé, elle ne prit aucune attention sur lui… Ne voulant pas ouvrir plus la blessure.

- Yuki... Je ne peu m'expliquer, je ne peu expliquer mes actes, mais je peu te dire que je ne les et pas voulus, je regrette d'avoir essayé de te tuer, je regrette d'avoir éliminé tout c'est gens, mais j'étais obliger, il en valait la survit de notre monde....

Ses mots n’étaient que murmure d’où elle était, le monde des vivants n’était plus le sien, seul son esprit, sa solitude était son monde. Même si c’était que des mots sans importance à ses yeux, le fait d’avoir dit qu’il avait été obligé et que c’était pour le bien de notre monde la fit sorti de ses pensés. Relevant légèrement la tête, l’air triste mais toute fois interrogatrices. La kunoichi se posa en ce moment une seule question précise : Le clan avait-il mit enfin le plan en œuvre ? Son expression c’était endurci, maintenant, elle comprenait. Ses points c’était resserrés, comment avait-elle put être la petite protégé du Hokage, quand celui-ci avait fait tuer tout son clan… La petite fleure se sentait si sale, si conne d’avoir rien vue! Aussi, le fait que son amour aille put obtenir la force de mangekyou, était dû au fait de tuer tout ces gens…. Ci ce n’était pas comme la version que tous rencontrait… Yuki savait clairement ce qu’il avait dû supporter, le pauvre. Comment avait-elle put être si aveugle ? Toute cette haine envers Itachi n’était qu’une erreur d’aveugle… Son regard triste devenu aussitôt désolé et dégouté par elle-même. La petite neige voulu le prendre dans ses bras et lui donner tout les pardons du monde… Mais avant même qu’elle puisse faire quoi ce soit, la voix de son cher bien aimé retentit dans l’espace vide qui était son cœur. Ce n’était point de ça faute, il était qu’un garçon exécutant les ordres et un coup sa mission fait, tout c’était retombé sur lui…. De plus, à la façon qui lui dit qu’elle devait le tuer, qu’il devait mourir de ses mains, car il était prêt à lui offrir ça propre vie la mise dans un déluge total. C’était comme s’il mettait toute cette tragédie dit sur son dos…

La jeune femme ignorait comment réagir. Elle resta ainsi, figée, le regard tremblant. La main de Tachi vire se poser sur sa joue dans une délicatesse inédite. Son visage était proche du sien, leur souffle s’entremêlaient. L’amour et le pardon se lisait dans les yeux de la jeune Uchiha. Jamais de toute son existence elle avait senti cette sensation de regretter un fait ou un geste de la sorte. Yuki n’en revenait toujours pas d’avoir été si aveugle toute ces années et de détester la mauvaise personne. D’un geste doux et tremblant, Yuki prise le jeune homme dans ses bras, le collant le plus qu’elle le pouvait contre son corps de jeune femme.

- Pardonne-moi… Ce n’est pas toi qui dois mourir… Mais bien la cause qui ta demandé de le faire…. J’ai été si aveugle… Pardonne-moi Tachi…

Le soleil c’était maintenant caché, les nuages noir et menaçant avaient volé la place de ce ciel bleu. La petite brise légère démontrait l’arrivé d’une averse et que celle-ci ne ce fit pas prié pour venir tremper les deux jeune gens. Le liquide appelé autre-m-en-dis; eau, rendit le petit tope sport blanc de la douce transparente, ce qui la mise dans une posture un peut gênante mais tout cette supposément gêne s’estompa, puis la kunoichi fermi les yeux espérant qu’il comprenne le sens de ses mots.

Elle s'excusait a sont tour, mais de quoi? pourquoi tenter de se faire pardonner une chose qu'on ne pouvait pas lui reprocher?, en tout cas, c'était impossible pour moi, qui aurait pu le deviner? j'avais si bien jouer mon rôle, celui du meurtrier, et il m'aillait a la perfection, comment elle aurait pu se douter un seul instant du faite que mes intention n'était as nuisible, bien au contraire, je ne pouvais pas lui en vouloir, je ne pouvais que l'aimer. Avent ces paroles, elle m'avait serrer contre elle, une étreinte douce, je pouvais ressentir sont amour a chaque seconde que je passais dans ces bras, que ce qui aurait pu être plus merveilleux que se moment? Elle, moi, nous... enlacer dans une étreinte amoureuse, et cela malgré toute les année, tout les difficulté qui nous avaient séparer, comment appeler ça autrement que 'Amour'. Les minutes défilaient, mon cœur devenait clair, quand au ciel lui il faisait l'inverse, devenant sombre a chaque seconde, même la pluie se mise a tomber sur nos corps que légèrement coucher, car a labris sous les branche du grand chaîne. Mais malgré cette couverture de feuille, la pluie était présente, assez présente pour dévoiler les forme généreuse de la belle qui c'était décollé de moi.

Je la regardais, de haut en bas, sont visage était doux, beau, un ange sous la pluie, sa poitrine était joliment dessiner, attirante de sensualité, j'aurais voulus la dévoré de baisé, l'embrasser, la palper pendant des heures, sont ventre était plat, légèrement musclé, et joliment former, ces jambe était longue et fine, d'une jolie couleurs doré, des jambe qu'on désirait toucher du lever de soleil a son coucher et plus encore. Je pris un long soupire comme pour calmer la flamme qui s'allumait en moi, mais ce geste ne fut que l'attiser, tenter de lui résister ne faisait qu'augmenter le désir déjà a sont comble que j'éprouvais en la regardant, celui-ci électrifiait l'air, il était palpable, chacun de mes geste montrait que j'avais envie d'elle et pourtant je résistais, mais pour combien de temps encore? Dans un dernière effort je pris la parole.

Yuki, ma belle, sache que tu ne doit être désolé de rien, la seul chose que tu puisse faire cet m'aimer comme je t'aime.

Je la regardais droit dans les yeux, tout en m'approchant d'elle, jusqu'à ce que mes lèvres frôle les sienne dans une douce caresse de chaleur, mes main elle, c'étaient poser sur ces hanche, remontant doucement sur les coter de sont corps, pour finalement venir lui caresser la poitrine, je ne l'embrassais toujours pas, je voulais profiter de se moment, ne l'interrompre qu'au moment ou le désir serait a sont comble, mais plus j'y pensais, plus je me disais que le désir n'avait pas d'infini avec elle, ainsi je l'embrassais, tout en la caressant, peut-être allait-elle me repousser, amis je n'avait qu'un souhait, qu'on n'unisse nos corps sous cette eau froide, que l'on mélange notre amour a se moment même. Que l'on s'aime pour les prochaine minute, les prochaine heures, les prochain jours, jusqu'à la mort....

Son corps contre le mien remplissait mon cœur d’une émotion qui moi-même avais crus avoir rayé. Je me sentais si bien ainsi, de nouveau dans les bras de l’homme que j'aimais. Oui, car ce moment venait de me le prouver, j’aimais toujours Itachi même après l’acte qui avait commis. Cela pouvait être con et ridicule mais l’amour pouvait être étrange et surtout celle qui ne s’efface jamais. Le doux parfum de son être m’avais manqué, je me demandais maintenant comment avais-je pus survivre sans ça présence ? À cette question, je me décollai avec supplice de l’être qui avait volé mon cœur, pour me remettre droite, dos contre tronc. Placé ainsi, me corps était à ça vue, laissant voir mon haut de sport blanc trempé et transparent qui laissait voir mes courbe qui à ses yeux avait l’air d’être bien dessiné, ce qui me fit faire un sourire en coin. La dernière fois qu’il avait put voir me corps datait de long, j’étais encore une jeune fille sur le chemin des femmes… Je n’avais aucunement le corps que je possédais à cet instant. Je pouvais également dire que j’avais bien vieillie. Je sentais également la douce caresse de son regard se poser sur moi, me contemplant de la tête au pied, ce qui me fit détourner le regard. Je détestais me sentir observé, me sentir comme une revue don les hommes adorait reluquer mais pour cette fois-ci, je me calmai, laissant passer le tout.

L’air était devenu électrifiant, tout geste me démontrait le désir qui se dégageait de son corps d’homme mais je sentais qu’il se retenait. Un soupire retenti dans l’espace pour finalement laisser place à de véritables paroles. Je ne pouvais rien y faire, il fallait que je lui pardonne… Car la vérité je la savais, elle était gravé dans tout mon être. Si j’avais jamais eue le courage d’allez m’infiltrer dans le bureau du vieux avant qu’il meurt pour trouver des informations qui était, cependant, classé secret d’élite, j’aurais jamais donné une conclusion à tout ceci en une fraction de seconde. Juste avoir lus les quelques lignes qui disaient ce que le clan avait eu en tête m’avais aidé à m’éclaircir seule… Mais à l’époque, j’étais une jeune fille aveugle qui ne faisait qu’obéir aux ordres de son sensei… Pour ce qui est de l’aimer comme il m’aimait, n’était point une chose difficile, il était l’homme de ma vie, mon âme sœur, je ne pouvais le rayé de la carte, car je l’aimais trop pour une telle chose.

Son regard ténébreux était en contacte avec le mien, me dévorant du regard. Tout doucement, presque subtilement, il se rapprocha de moi, jusqu’à ce que ses lèvres frôlent les miennes dans une caresse sensuelle et désirante, ses mains allèrent se poser sur mes hanches, remontant sur le coté, ce qui me fit frissonné, mon ventre à son touché c’était contracté, à vrai dire, j’étais chatouilleuse… Mais cette caresse, je l’adorais tout autant. Nos souffles s’entremêlaient, nos lèvres se touchèrent mais aucun baisé ne c’était échangé, qu’un contacte doux, chaleureux, me rendant toute à ça merci. Ses mains continua leur chemin, remontant encore et ça jusqu’à ma poitrine. Je sentais en moi une sensation tout à fait étrange à mon égard, je commençais à me sentir sauvage, libéré, j’avais cette envie qu’il m’arrache tout vêtement… Mais toute fois, j’ignorais si j’étais prête à ce qu’il allait suivre. Même que lorsque qu’Itachi m’embrassa, je senti cette sensation monter en flèche mais le doute, des papillons c’était réfugié dans mon ventre. Moi Yuki Uchiha, je m’étais gardé pour l’homme que j’aimais… Mais plusieurs années nous avait séparé, était-ce toujours le cas de son coté ? Je l’ignorais, lui qui pensait que j’étais morte à surement refait ça vie… M’oubliant dans les limbes… Qui sait, tout pouvait arriver. C’est également à cet pensé que je stoppai tout, le baisé, les caresses. Je restai les yeux clos, la main sur le cœur, il était trop tôt pour un tel acte…

- Je suis navré…

C’était le seul geste, les seuls mots que je pus prononcer. Je ne pouvais continuer, je n’avais pas la force, je n’étais pas prête et de plus, nos retrouvaille venais que de commencer… Toujours dans la même douceur, je l’embrassai, je ne voulais pas qu’il le prenne mal…Mais c’était toute fois un peut rapide comme recommencement...

Le baisé fut court mai rempli d’amour. Mon front humide alla contre celui d’Itachi, même si j’avais mise fin à ce qui était sensé de ce passé, il en restait que ce moment était tout à fait remarquable, doux et passionné. J’avais prise l’habitude que quand je me sentais désolé, je l’embrassai pour finalement, mettre mon front contre le tien. C’était ma façon à moi de lui démontrer que j’étais navré, une façon dont il me trouvait si mignonne. Oui, en effet, même adulte, j’avais gardé mes veilles habitudes et celle-ci n’était qu’un réflexe dû au temps de mes souvenirs. En parlant de souvenir, un de bien drôle, enfin drôle… On l’avait rie... Mais ma mère malheureusement non.

-- Flash back –-

Il était tard, moi et Itachi revenions d’une dure mission qui avait été divisé, car il était absolument pas question que nous deux fassions équipe, enfin, on suivait tout simplement les règlements... Plutôt ses règlements. Bref, pendant que de mon coté je prenais ma douche, mon amour lui, c’était dépêché et c’était réfugié dans ma chambre. Habillé d’un simple boxeur, il m’attendait bien sagement sur le bord de ma porte de sale de bain. Lorsque je sortie, il m’attrapa par surprise ce qui me tira un cri de frayeur, moi qui n’avait pas du tout senti sa présence. Je le repoussai, perdant le seul bout de tissu qui cachait mon petit corps fragile. Je fus soulagé à la vue de son visage, il m’avait donné une de ces frousses, j’avais crue mourir sur place. Le jeune Uchiha fit un large sourire en voyant qu’il m’avait eu, puis me prise dans ses bras et alla me déposé doucement sur mon lit. Soudain, mon corps se fit parcourir de doux baisé c’est ainsi qu’il se fit pardonner. Dans un geste sensuel, il me mordit doucement la lèvre avant de m’embrasser passionnément. Nos corps devenu enflammé et attiré l’un de l’autre nous avaient en porter jusqu’au moment de notre nuit…

Tout deux nus, prêt à faire le grand pas dans un monde de paradis, ma mère surement intrigué par le cri que j’avais laissé quelque temps plus tôt lui avait titillé la curiosité. Elle ouvrit la porte et resta figé sur place pendant une fraction de seconde à la vue de l’image peu chrétienne. Frustré, elle cria le nom de mon amoureux, l’obligeant ainsi à se rhabiller et de quitter immédiatement les lieux de sa demeure. Le geste que ma mère avait posé pour que l’Uchiha quitter les lieux m’avais mise dans une colère que tel ma voix douce et angélique c’était renforcie pour devenir une voix colérique, une voix puissante qui démontrait bien ce que je ressentais. Mes paroles fut tel inexplicable que je ne pourrais vous dire exactement ce qu'avait put sortir d’entre mes lèvres, tout ce que je sais, c’est qu’à près les mots dis, ma mère m’avait giflé. Sur son geste j’éclatai de rire, j’aurais jamais pensé qu’un jour, ma mère m’aurait surprise à oser à faire un tel acte, elle qui voulait que je me garde jusqu’au mariage. Je me relevai de mon lit, me dirigeant à mon bureau pour prendre les vêtements que j’avais laissé pour m’habiller lorsque j’allais sortir de la sale de bain. Je pris les bouts de tissu, les enfilant tout en me dirigeant hors de chez moi.

Dehors, il faisait déjà depuis un bon moment nuit, les grillons chantait de plein cœur, suivit de petits lucioles qui dansaient au rythme de leurs chant. Je refermai la porte derrière moi tout en entamant une marche délicate sur le long balcon qui décorait si bien la demeure familial. Assit sur le rebord d’une fenêtre, Itachi m’attendait calmement, riant légèrement à me voyant. Au début, c’était choquant j’avoue, mais en y repensant encore et encore cela était devenu une anecdote plutôt drôle… n’essayé pas de comprendre, il faudrait bien que ce genre de situation vous aille déjà arriver pour bien rire de ce genre de chose…

-- Fin du flash back --

Ce souvenir me faisait encore rire, la preuve, je riais en ce moment juste à y penser. Je décollai mon front du sien, je le regardais maintenant dans les yeux, le sourire aux lèvres. Cela faisait longtemps que je n’avais pas repensé au passé autre que pour me donner une certaine force, mais bien pour rire.

- Te souvient-tu lorsque ma mère nous avait surprit ?

J’avais retrouvé ma voix angélique, maintenant j’espérais seulement qu’il n’avait pas oublié.

Je fut comme légèrement repousser vers l'arrière, mais le geste fut doux, et sans agressivité, j'avais sans douté été trop rapide, je m'en était dalleur rendu conte, mais je la désirait tellement, que je n'avais pu me retenir dans cette élan de chaleur et d'amour, mais jamais je n'aurais pu lui faire quelque chose don elle n'avait peut-être pas envie, ou qu'elle n'était pas prête, de plus le lieux était loin d'être propice a l'acte. Je lâchais un long soupire tout en fermant les yeux, que je rouvris cas la fin du soupire. Sa voie, la douce mélodie qu'elle ouvrait a chaque foi qu'elle ouvrait la bouche atteignit mes oreille, elle était navré, elle n'avait pas a l'être, bien au contraire, sont geste était compréhensible, je ne pouvais lui en vouloir, mais le faite qu'elle me dise ça, et que ces lèvres revinrent au contact des miennes me rassurais, elle ne m'en voulait pas, et j'en n'étais heureux. Le baisé court, mais si tendre que j'avais crue fondre sur moi même se stoppait, elle fit un geste qui m'avait longtemps manquer, sont front humide a cause de la pluie vint se poser contre le mien, il me regardait dans les yeux, sont visage était lumineux.

Je craquais a chaque foi qu'elle faisait cela,, elle était belle, non... elle était magnifiquement belle, la plus belle pierre de cette terre, encore plus précieux que le plus gros des diamant, sa peau était plus douce que le plus doux des tissu, et sa beauté dépassait l'entendement, elle aurait pu éclipser la plus étincellente des étoile d'un simple sourire. C'était amusant de la voir ainsi, même après plus de 7 ans, elle avait garder ces mimique qui la rendait si touchante.

J'étais un adorateur de sa personne, j'aurais pu en faire un culte tellement mon amour était grand, et cela malgré toute c'est année. Je pensais avoir oublier, que toute amour avait disparue de mon cœur, mais je m'étais tromper, a peine j'avais recroiser sont regard magnifique, que j'étais de nouveau accros a elle, que je ne pouvais m'en détacher, je me souvenais de cette douleur, le jour ou elle m'avait annoncer qu'elle devait partir, cela m'avait brisé le cœur, c'était se jour la que j'avais compris que c'était elle qui serait la mère de mes enfants, je lui avait dalleur donner sont premier baisé en se jour faste, et par la même occasion j'avais reçu le mien, cela avait été mon essence pour supporter sont départ, c'était comme pour me donner la conviction que je la révérais, et que si se n'était pas le cas, elle serait que je l'avais aimer....

Soudain elle se mit a rire, Ohh, que j'aimais cet instant, l'entendre rire était le meilleur des remèdes, c'était une pousser a l'amour, et cela ne faisait qu'augmenter une beauté qu'on pouvait penser indépassable, soudain, elle me remit en mémoire un moment, le jour ou sa mère était entrer dans la pièce, ou nous nous tenions nue elle et moi, nous étions encore jeune a cette époque, mais nous savions déjà que nos destin était sceller pour l'éternité, c'était dalleur pour cette raison que je n'avais toucher aucune autre femme qu'elle, je me l'était promis, se n'était pas les occasion qui avait manquer, mais je ne désirais pas tacher sa mémoire plus que je ne l'avais fait, je m'étais préserver, et je me serais préserver jusqu'au jour ou nos deux âme se serait retrouver dans la mort. Mais le destin en avait décidé autrement, il avait été clément, et je ne pouvait que le remercier pour ça, je n'avais pas a attendre ma mort pour la retrouver. dans un éclat de rire, je lui répondis.

Oui, je me souvient, alala, ta mère m'aurait sans doute tuer se jour la, si elle en avait eu la force.

C'était un bon moment, je vivais sans doute une des meilleur journée de ma vie et cela depuis très longtemps. La pluie elle tombait de plus en plus fort, et il faisait de plus en plus froid, je me levais, attrapant la mai de Yuki en chemin, l'entraînant dans mon geste afin qu'elle et moi soyons debout, dans les bras l'un de l'autre, dans une formidable étreinte, j'avais été très rapide, et je ne lui avait pas laisser le choix que de venir dans mes bras. dans un murmure a l'oreille je lui dit:

Il serait bien qu'on retourne a l'auberge avent de mourir geler sous la pluie, en plus il y a longtemps que je n'est eu, ni repas chaud, ni lit confortable, et encore plus tout ça a t'est coter. Je te demande une chose, préserve mon identité mon amour...

Je l'entourais toujours de mes bras, essayant de la réchauffer avec la chaleur de mon corps, quand j'eus l'idée de lui passé ma cape, après tout rentrer dans une auberge avec des vêtements transparent aurait attirer les yeux, et je ne désirais pas qu'une autre personne que moi puisse admiré le corps parfait de la belle, de plus je ne voulais pas qu'elle tombe malade, j'attendais seulement sont signal pour qu'on parte vers cette auberge main dans la main.

Je ne eu le temps de cligner de l’œil, qu’il me répondit d’un ton ma foi qui m’avait surprise. Jamais j’avais assisté à des éclats de rire tel quand ce moment. Depuis, mon jeune âge je le connaissais, depuis toute ces années, j’ai eu que l’occasion de le faire sourire tout simplement, là j’avais la chance de l’entendre rire, c’était tel une mélodie qui avait remplie mon être d’une lueur céleste. À la fin de ses mots, je souris, il était vrai, que si ma mère avait eue la force de le tuer elle l’aurait fait, elle était si en colère de cette trouvaille qui à ses yeux avait souillé mon image de petite fille parfaite. Toute fois, mon image avait été souillée bien avant cette soirée… Mon statue de petit ange avait disparut le jour où j’avais pris possession du mengekyou… Cette image de terreur avait resté dans ma mémoire et n’était pas prête à me quitter. Bref, je me stoppai net, il n’était point le temps de repensé au passé maintenant, je ne devais en aucun cas démontrer aucune émotion relie à ses souvenirs affreux, car dû au fait qu’il aura surement un questionnaire à la suite du questionnement sur le pourquoi de cet air triste, haineux etc. Je n’étais pas d’humeur à vouloir parler du passer… De lui avouer la puissance que j’avais pus acquérir pendant ces deux années loin de Konoha.

Le temps avait changé, pleuvant de plus en plus fort, le vent tant qu’à lui, c’était refroidit, me laissant grelotter légèrement à son contacte. Sans même avoir eu le temps de réflexe, je me retrouvai de bout dans ses bras réconfortant. Dans un murmure dans le creux de mon oreille, il me demanda en quelque sorte de retourner avec lui à l’auberge. Oui, c’était une très bonne idée, ça tombait bien qu’il me demande ceci, car je commençais à sentir mon ventre me crier famine, de plus, une bonne douche bien chaude me ferait le plus grand bien et en même temps, comme il m’avait avoué qu’il n’avait jamais eu depuis longtemps l’occasion de manger un bon repas chaud et d’un lit douillet me donna le petit plus pour lui offrir ce qu’il avait dû se priver depuis toute ces années.

Au moment où j’allais lui répondre d’un signe de tête, l’Uchiha enleva sa cape pour la mettre ensuite sur mes épaules. C’était gentil de sa part de me la prêter. Grâce à ce geste, je ne grelottais beaucoup moins et cela m’aidais aussi à cacher mon haut devenu transparent. Sur le bout des pieds, j’allai lui donner un doux baisé sur ses lèvres pour le remercier tout en entrelaçant mes doigts avec les siens, puis en décollant mes lèvres, je commençais à marcher vers l’auberge. C’est à ce moment là, que je remarquais que je m’étais éloigné plus de ce que je le pensais du village. Donc après une marche silencieuse, on arriva finalement devant le bâtiment qui me servait de lieu pour me reposer. De ma main libre, j’ouvris la porte afin de m’introduire dans l’auberge. En entrant j’avais prise la peine de reprendre ma main en ma possession, je ne voulais pas que la veille me pause une tonne de question sur ce sujet qui juste à y penser m’ennuyais déjà. D’un geste subtile, je fis signe à mon amour de me suivre, car je m’étais déjà aventurer dans les escaliers avec hâte de prendre une bonne douche.

En haut de l’escalier ce trouvait un long couloir munie de plusieurs portes. Furtivement, je me faufilai dans l’une d’entre elle, plutôt dans celle qui m’était réservé. Tout en refermant la porte derrière mon bien aimé, j’avais enlevé la cape pour lui redonner et qu’un coup cela fait, j’enlevas mes sandales, histoire de garder les lieux propres. La chambre étant de classe bien normale, était munie d’un petit salon qui communiquait avec la cuisinière. Sur l’un des murs du salon se trouvaient deux portes dont était question de la chambre et de la sal de bain, d’où je m’étais dirigé…

- Je reviens… Je vais prendre une douche vite fait, donc fais comme chez toi.

Sur mes mots je lui envoya un baisé volatile, puis je disparus sous la douche.

[Désolé, c'est pas mon meilleur... Mais disons qu'un faire un Rp lorsqu'on est fatigué n'est vraiment pas conseillé u_U]

Elle me tirait par le bras afin d'arriver plus vite a l'auberge, je lisais sur sot visage le bonheur de m'avoir retrouver, le mien donnais sûrement la même impression, je n'aurais su expliquer a qu'elle point j'étais heureux, aucun mots ne pouvait être assez fort pour définir se sentiment de douceur absolu qui comblait mon cœur que je croyais mort d'une infini claireté. Le souffle du vent glissait sur nos visage dans cette course folle comme un enfants sur la glace. Cela ajoutait à la plainitude du moment. Âpres plusieurs longue et agréable minutes a nous diriger vers l'auberge, nous arrivions finalement devant les lieux.

Yuki fit une entrez discrète, me faisant signe de la suivre dans les escalier, apparemment, elle voulait entrez discrètement, et pour tout dire cela me convenais parfaitement, telle deux hombre a la furtiviter inégalable, nous montions les escalier. Les escalier nous avait mener sur un long couloir, Yuki semblait bien connaître les lieux. Très vite, nous parcourions le couloir avec une discrétion que seul les ninja de haut niveau pouvaient atteindre, et nous nous arrêtions devant une porte, Yuki sorti une clef et entrait, je la suivait lentement.

La chambre était plutôt spacieuse, faite d'un boit clair très agréable, elle possédait toutes les commodité qu'une belle chambre se devait d'avoir, et le confort semblait optimal. Avent d'avancer plus loin, je m'était déchausser, la belle me rendit ma veste, je l'observait, ces courbe était toujours autant joliment dessiner, c'était un véritable bonheur de la regarder, mais je détournais les yeux tut de même afin de poser cette veste sur un porte veste.

Je regardais plus en détail les lieux, c'était plus grand qu'au premier coup d'œil, il y avait 2 portes, sans doute une salle de bain et une chambre. Le salon lui ne faisait qu'un avec la cuisine qui était impeccablement ranger et propres. Je m'avançais sur les lieux quand je fut stopper par une douce mélodie, mon visage tournais vers cette même mélodie, c'était Yuki qui parlait, non a mes oreille elle chantait. Mon regard fut subjuguer par la grâce de sa démarche, féline, sensuelle, tout se qu'un homme pouvait rechercher, elle était la plus parfaite des femmes a mes yeux.

La porte se refermait derriere elle, mettant fin a cette vision de grâce qu'elle m'offrait, a se moment la, je n'avais qu'une envie, la rejoindre. Mais je retins, repensant a tout a l'heure, j'avais voulut allez trop vite, cette fois, j'allais laisser un peu de temps, de toute manière, nous avions bien le temps maintenant que nous nous étions retrouver. Ainsi, le temps qu'elle se lave, je tournais dans la pièce, j'avais faim, j'étais courbaturer. Je pris place sur le fauteuil blanc qui était positionner au milieux du salon, écoutant la symphonie de l'eau couler dans la pièce d'à coter.

Je méditais, le calme était troublant, mais tellement apaisant, dalleurs, je ne me rendis pas conte de suite que l'eau avait arrêter de couler, mais au moment ou je m'en était rendu conte, le sourire au lèvres, je pris position prés de la porte, attendant que Yuki sorte afin de l'effrayer, ainsi nous nous remémorions le passer, je riais intérieurement....

Je pris le temps de me déshabiller de tous vêtements trempés. Dans une douceur inédite, je m’avançai vers le comptoir d’où ce situait un grand miroir. Je détachai mes cheveux, les laissant tomber sur mes épaule, d’un regard neutre, je me regardais, je me reconnaissais plus, je ne pouvais croire que cette fille devant moi était moi… Ce corps renfermant cette puissance Uchiha que je n’aurais jamais du avoir… Je fermis les yeux, mes petits doigts allèrent rencontrer mon collier, puis une fine goute chaude coula le long de ma joue. Finalement, je n’étais pas si différente que ça de l’histoire d’Itachi, tellement de mort causé par mon regard, tellement de mort tuer par mes mains que j’empestais le sang et ça pour le restant de ma vie… J’aurais du mourir cette nuit là… Je soupirai, ouvrant mes yeux, me regardant une dernière fois avant de me diriger dans la douche. La cascade d’eau chaude m’apaisa de tout souvenir, de cette blessure ouverte.

Toujours dans une douceur, je fermis l’eau aillant fini de me laver, je sorti attrapant en chemin une serviette blanche. Je m’essuyai, il était temps de remettre ce visage de fausse joie pour cacher ce qui me blessa temps, puis j’attachai le bout de tissu autour de moi pour cacher mon corps nue. Ma main attrapa le poignet de la porte, je prise une grande respiration, puis j’ouvris la porte. En fraichissant le cadre de porte, je me fis attraper, je restai crisper sur place avant de mettre à terre ce petit Uchiha qui croyais me refaire le saut, le classique quoi?

- Tu croyais m’avoir une seconde fois ?

Mon pied sur son torse faisant en sorte qu’il reste dos contre sol et d’un merveilleux sourire je me suis mise à ricaner, pour ensuite l’aider à ce relevé. Une fois sur pieds, je me rapprochai de lui, le regardant de bas, il était si grand, si ténébreux, il n’avait pas changé d’un poil. Mes mains lâchèrent ma serviette pour allez de chaque coté de son visage, en même temps que le bout de tissus glissa le long de mon corps, me visage s’approchait de celui de mon amour. Le bruit mat du tissu sur le sol était maintenant que murmure, nos lèvres étaient contre l’une de l’autre. Mes yeux clos, j’embrassai Itachi d’une passion charnel. L’une de mes mains descendit se frayant un chemin, passant de sa joue, à son cou pour s’arrêter sur son torse, pour finalement, remonter jusqu’à ses cheveux. Pendant que ma main était occupée de caresser ses cheveux, mon autre main quitta son doux visage. Du bout des doigts, je parcourrai son bras, allant ainsi chercher sa main à lui. Dans une douceur qui me représentait si bien, j’en profitai pour la diriger sur l’un de mes seins. Je décollai légèrement mes lèvres des siennes, laissant ainsi à découvert le sourire timide qui s’y était dessiné. J’ignorais totalement sa réaction suite à tout ceci mais il en était sur que maintenant, je me sentais prête lui offrir ce qui lui appartenait déjà depuis fort longtemps.

J'étais poster devant cette porte, prés a l'attraper au moment de sa sortie, dalleur la porte s'ouvrit, dans un geste vif je l'attrapais, mais je senti la crispation de sont corps, et sa réaction fut très rapide, si rapide que je me retrouvais au sol, son pied sur mon buste, j'éclatais de rire, la fixant de la terre, elle était belle, magnifique, les cheveux encore mouiller, il lui descendait le long des épaules, des jambe d'une longueur incroyable, des yeux d'une profondeur inégalable, comment j'avais pu vivre sans elle a mes coté? Jamais je n'aurais pu répondre a cette question. Elle m'aidait a me relever, puis une foi face a moi elle se rapprochais, mes yeux ne lâchait plus les siens, même quand elle lâchait sa serviette, la laissant glisser le long de sont corps. Je respirais sont odeur, douce et féline, une odeur qui la représentait a la perfection. Ces mains étaient contre mes joues pendant que sa bouche, elle se collait a la mienne. Je sentais mon âme me quitter, elle me quittait pour rejoindre celle de Yuki au comble de l'extase. Sa main, douce comme l'ébène caressait ma joue, puis mon coup, puis finalement mon torse. J'étais dévorer entre deux envies, celle de la prendre immédiatement et de faire de cette femme, celle qui pour moi était la plus belle de se monde, mienne. Mais une autre parti ne voulait que tendresse, baiser et caresse, je en savais la qu'elle choisir, pour la toute première foi je me sentais perdu. Sa main était retourner dans mes cheveux, c'était au tour de l'autre de glisser, elle glissait le long de mon bras pour finalement s'arrêter au niveau de ma main, nos lèvres étaient toujours jointes, je perdais pied dans cette océan de bonheur. Ma main suivit le chemin indiquer par la sienne. Elle avait fini sur sa poitrine, j'étais stupéfait, elle était prête?

Je profitais de cette intense moment, caressant avec douceur son sein, plus particulièrement le bout, celui-ci était tendre, doux, démontrant la fragilité des femmes, mon autre main vint elle aussi se poser sur sont corps, sa hanche, puis je la fit glisser sur ces fesses. Nos lèvres se décolèrent finalement, elle souriait, timidement. J'adorais sont visage, sont sourire, ces yeux, j'aimais tout en elle. De ma main poser sur ces fesses je la forçait a se coller a moi, ainsi je pouvais sentir sont corps chaud et légèrement humide contre le mien, je l'embrassais de nouveau, puis je dirigeais ma bouche vers sont cou, la mordillant, je profitai pour respirer l'odeur de sont corps, j'étais bien, heureux, je voulais qu'elle le soit tout autant que moi. ma bouche continuait a descendre le long de sont corps, pour s'arrêter sur sa poitrine, j'étais presque a genoux, mes deux mains avaient glisser le long de sont dos, les deux étaient maintenant contre la forme rebondi de sont fessier qui me faisait rêver. Pendant se temps je jouais de ma bouche, de ma langue sur la pointe durci de ces seins. Je m'arrêtais par moment afin d'observer sont visage et ces réaction, je la désirais plus que tout au monde... je l'aimais.

La caresse douce et chaleureuse sur mon seins me fit rougir, ce contact me rendait tout chose, j`adorais. Pendant que l’Uchiha commençait à prendre pied dans la situation, l’une de ses main vire se poser sur ma hanche pour descendre sur mes fesses rebondit, dessiné par le plus doué des artistes. Me poussant, collant mon corps humide contre lui, me fit rêver. Il m’embrassa d’un baisé amoureux, puis se frayant un chemin jusqu’à mon cou, me le mordillant légèrement, ce qui me fit frissonner de tout mon être. Sa bouche continua son chemin, s’arrêtant à ma poitrine généreuse. De sa langue, jouant sur le bout déjà durcis, je fermis les yeux, me laissant partir au loin sur cette douce caresse. Sur mes lèvres c’était dessiné un sourire, un sourire lumineux, j’ouvris les yeux, j’obligeai à mon amour d’arrêter son petit jeu de langue. Une nouvelle fois relevé, je prise sa main, puis d’un pas discret, je l’emmenais avec moi dans la chambre à nos coté.

Je le fis s’asseoir sur le lit double qui se trouvait face à moi. Toujours d’une douceur exquise, je lui enlevai son haut, me dévoilant son torse sculpté, si bien travaillé que je m’en mordis la lèvre inférieur. Le poussant légèrement pour qu’il puisse être étendu sur le dos, tout dans ce geste délicat, je montai sur le lit, m’avança telle une tigresse. Mon visage rendu au même niveau du sien, je l’embrassais, je lui dévorai les lèvres avec une fougue imprévisible. Je descendis doucement, embrassant en chemin une dernière fois ses lèvres, je m’arrêtai à son cou, le lui léchant délicatement avant de le mordiller dans une sensualité qui pouvait battre toute attente. Je continuai maintenant mon chemin, je parsemai son torse de baisés avant de descendre encore jusqu’à son bas ventre. Je prise cependant mon temps, profitant de la vue qui allait s’offrir à moi. Détachant son pantalon, je lui enlevai avec un sourire des plus coquins. Itachi Uchiha n’était plus le jeune garçon de 13 ans que j’avais connu, je pouvais maintenant le dire, son visage n’avait pas changé mais tout ce que je venais de découvrir me démontrait clairement qu’il était devenu un homme, un grand homme beau (Ultra sexy >_<) et fort.

Dans un bruit mat, le bout de tissu rencontra le sol. Pendant ce temps, je m’étais rapproché doucement de la verge du nuke-nin. Transformant ce moment en moment d’extase, je déposai de long baisé sur son membre déjà depuis long temps bien droit. Faisant de temps en temps mon agasse avant d’engloutir le tout. Je lui offrais un vas et viens doux histoire qu’il savoure ce moment de pur délice.

Elle me fit arrêter mon petit jeux, je crue un instant qu'elle ne voulait plus s'offrir a moi, mais quand je vis sont regard doux et amoureux, je compris tout de suite, elle voulait nous faire passez a une autre étape, je la regardais moi même avec le sourire, un sourire de bonheur, d'envie. Elle pris ma main, puis me guidait vers la pièce qui servait de chambre. Âpres quelque pas, nous entrions dans une pièce doter d'un lit. Il faisait plutôt frais, mais cette fraicheur était incapable de refroidir la braise qui attisait mon corps de tout ces sens. De plus, plus je regardais la belle, plus mon corps était chaud d'une passion que je ne pensais pas possible. Qu'elle était belle, non qu'elle était magnifiquement belle, une beauté rarissime, elle était comme un rubis, un diamant brute...

Elle poussait légèrement sur la lit enfin que je soit assis dessus, ces main avait été coller contre mon torse tout le long de la pousser, cela m'avait enfoncer dans une transe que je n'avais jamais connu. D'un geste souple et vif elle enlevait mon haut, sont regard me fit grimper d'excitation, elle semblait émerveiller de la beauté de mon torse, il était vrai que j'avais bien changer physiquement durant toute ces années. Ces mains étaient toujours coller a mon torse et elle entreprit de me pousser a nouveau afin de me faire étendre de tout mon long sur le lit, je suivis bien évidement le geste, je me retrouvais ainsi allonger sur le lit. Mon regard était toujours porter sur elle et sur ces mouvement tous plus sensuelle les uns que les autres. Elle était telle une tigresse a avancer lentement sur le lit au drap de satin noir, je dégageais un long soupire, un soupire d'extase a la regarder. Arriver a ma hauteur, sont visage s'approchait du mien, puis elle déposait ces lèvres douce et chaude, légèrement humide contre les mienne, elle m'embrassait, elle me dévorait de baiser. Soudain, ces lèvres arretairent d'être au contact des miennes, chose qui me fut difficile tellement la passion de cette actes était intense, mais se qui suivit le fut tout autant. La caresse sensuelle de ces lèvres parcourant les courbe de mon corps me firent vibrer, je me sentais m'envoler.

Arriver au bas de mon ventre après plusieurs minutes de baiser intense, elle retirait avec toujours autant de douceur mon bas, je me laissais faire, j'étais tellement bien. Je la regardais toujours, je n'avais cesser de la suivre du regard, quand soudain je senti la bouche de ma bien aimer rentrer au contact de mon membre dur depuis déjà de longue minute, cela me poussait dans une sensations indescriptible de douceur et de bien être, chaque va et vient qu'elle faisait me faisait encore plus monter dans le gouffre de bonheur que chaque homme voulait visiter, celui qui était le summum de l'orgasme.

cela durait de longue minute, des minutes ou chaque geste qu'elle faisait me donnait un plaisir fou, un telle plaisir que j'avais l'impression que j'allais exploser a n'importe qu'elle moment, le seul faite que je réussissais a résister était que j'avais moi même envie de lui faire gouter au même bonheur qu'elle m'offrait. Je fermais les yeux pour savouré se moment, laissant échapper ma respiration saccader et bruyante du a l'intensité du moment, mais combien de temps allais-je tenir?

Mais mains vinrent se mêler a ces cheveux retombant sur chaque coter de sont visage , j'ajoutais une caresse a celle qu'elle me faisait connaitre...

» Yuki Uchiha