Joki (A finir)

Avez vous lu et signez le règlement ? Oui

Nom:
A voir.

Prénom :
Joki est un pseudonyme que c'est donner la jeune Kunoichi sont vrais nom est Miki

Âge :
16 ans

Nindô:
A voir.

Affinitée:
Suiton et Fuuton. (Si possible)

Grade souhaité(les persos du manga garde leur grade actuelle):
Un bon si possible.

Village ou Organisation souhaitée :
A voir.

Description Physique :
Joki est une jeune fille de petite taille, elle a de long cheveux bleu assez clair. Elle possède deux grand yeux chacune de couleurs différents. Une simple erreur de naissance ? Ou autres chose...Joki n'en sait rien. Tout ce qu'elle sait c'est qu'elle complexe assez sur ses yeux, ou plutôt elle ne supporte pas qu'on la regarde fixement. Mais sa petite taille ne lui pose aucun problème. Elle se fou de sa et pense même que cela est un grand avantage. Mais que peut-on dire sur Joki ? Elle est peut-être assez petite et très menue mais possède une bonne poigne. Elle porte souvent une echarpe et sa facon de sa s'habiller depend et puis sa garde de robe n'est plus trop etendue maintenant...

Description Mentale :
Joki est une jeune fille gentille et calme de nature. Rêveuse, souvent maladroite, elle n'en reste pas moins attachante. Mais le temps change souvent le regard des autres...La vie parfois dur, parfois heureuse. Personne ne choisie vraiment sont destin, surtout lorsqu'on a que 6 ans. Joki n'eut pas vraiment la chance de choisir son avenir, ni même d'y penser. Non, elle ne devint pas une femme cruelle et sans coeurs. Peut-être même bien un peu plus du contraire. Beaucoup de gens peuvent avoir l'esprit troublé par certaines choses du passé, un traumatisme, un choque que l'on aurait pu subir qu'elle soit mental ou physique, tout ca peut changer le plus pur des êtres. Joki est rester une fille sage et sans trouble apparant. Enfin, c'est tout ce qu'elle montre au gens qui l'entours. Seule dans sa chambre, elle ne passera pas son temps a se coiffer ou a ce demander qu'elle seront ses prochaines missions... Joki souffre profondement et en est consciente et ne veut que personne le sache. Elle ne voit pas pourquoi elle devrais faire part de tout ce qui la trouble...Ca vie en société est assez simple, mais jamais elle ne dirat tout ce qu'elle ressent. Elle pense de toute manière que cela serais inutile, puisque dans ce monde, il n'y en a que pour soit...

Histoire :
A faire.

Test Rp:
Une rencontre qui avait assez bouleversé la jeune kunoichi, toute ses paroles sortir de la bouche d’une jeune fille qu’on aurait pu comparer à un ange. Mais au fond peut-être était-elle simplement obliger ou qu’elle n’avait pas employé le bon ton et que tout cela n’avait simplement été que Hibana qui avait tout prit du mauvais cotés. Après ses deux discussions en deux jours le résultat avait été resté le même. Rien n’avait changé dans les plans de la jeune fille ou peut-être si… Elle avait réfléchie au peu de parole de la jeune fille aux yeux blancs dans les plaines. Elle n’avait pas eu tort, il ne fallait pas ce précipiter et pour Hibana maintenant sa première préoccupation était de trouver un endroit ou se loger, même si cela était pour une durée indéterminée.


Donc Hibana etait bel et bien retourné sur ses pas. Elle avait refait exactement ou presque le même chemin qu'a l'allée, mais tout cela complètement au hasard. Mais sont chemin ne la mena pas la ou elle le pensait. Elle ne trouvait plus le lac et donc tout près le village de Kiri. Ce n’était pas grave mais la situation devenais critique, elle était dans la forêt et il commençait presque a faire nuit, en plus cela faisait maintenant plusieurs heures qu’elle marchait et elle ne connaissait rien de la carte.

Hibana marchait sans cesse, la forêt était calme comme à son départ bien que le vent commençais a se lever. Tout cela lui rappelait l’époque ou elle n’était encore qu’une simple paysanne comment tant d’autres dans chaque régions ou était planter une forêt et des champs. Dans sa mémoire, elle revoyait encore cet été un ciel bleu qui maintenant lui parait bien lointain, il faisait chaud…Elle repensait au temps ou elle chantait en cueillant des fleurs. Tout ses souvenirs qui renaissait presque et pourtant Hibana avait décidé de définitivement les effacés, les oubliés… Des souvenirs qui la rendait triste au plus profond d’elle, des souvenirs qui ne maintenant reviendront plus. Tout avait tellement changé, Hibana avait changé. Elle n’était plus cette jeune fille naïve, elle était tout simplement devenue…un être assoiffé de pouvoir et pourris jusqu’au os et le pire pour elle s’est qu’elle en avait complètement conscience.

Cette marche donc devenait presque interminable. Hibana n’en voyait pas le bout, en plus il n’y avait rien autours d’elle, simplement des arbres, des buissons et parfois même des animaux qui arrivait sans prévenir droit devant elle. Tout cela fit gargouiller le ventre de la jeune Hibana. Plusieurs jours qu’elle n’avait rien avalé, on se demande comment elle a put tenir aussi longtemps. Elle emporter avec elle une gourde d’eau mais celle-ci fut vite épuiser. Il devenait urgent de trouver une petite auberge pour que Hibana puisse manger et boire et qui sait peut-être dormir.

Enfin, il faisait de plus en plus froid et le vent se faisait de plus en plus fort. Très courte vêtu, la Kunoichi commençait à avoir froid.

« Tout ce que je demande maintenant c’est un endroit chaud, tant pis si il n’y a pas a manger, je tuerais ceux qui croiseront mon chemin et je les mangerais...Animaux ou humain, j’en fais le serment ! » Voila ce a quoi Hibana pensais, devenait-elle complètement folle ?! La fatigue tout sa cela était regrouper ensemble. Ce genre de sentiments quel soit physique ou mental pouvait vite provoquer une crise surtout dans le cas de Hibana qui ne supportait pas longtemps ce genre de situation. Hibana avait été une fille choyer très tôt et très pourries gâtées, même si au fond elle ne l’était pas vraiment.

Les bras croiser et la marche qui se faisait de moins en moins vite, Hibana rêvait d’un bon feux au coin de la cheminer avec un bon bol de thé. En tout cas, si elle devait faire un souhait ce serais celui-ci. Sont vœux ne mit tout de même pas longtemps avant de ce réaliser… Tout d’un coup Hibana sentit un air très chaud sur son visage, au départ cela ne l’interpella pas vraiment puisqu’elle pensait être encore dans ses rêves. Mais en ouvrant les yeux elle comprit vite que tout cela n’était pas normal, elle ne voyait rien avec tout ses arbres. Elle décida donc d’utiliser le peu de force dans ses jambes pour grimper sur un arbre et voir d’éventuel chose qui pourrait se passé. Elle plaça sa main droite au dessus de ses yeux comme si le soleil lui pétait en plein dans les yeux. Hibana pensait a une sorte d’illusions, mais non il y avait bien un feu dans la forêt ou elle se trouvait en se moment !

*Je rêve en grand …*

Hibana semblait prendre cela a la légère et avec un petit brin de folie. Elle était contente d’avoir chaud mais n’était pas assez folle pour s’y aventurer. Elle en profita pour voir autours d’elle, une lumière au loin se fit voir, « victoire ! »

Auberge, me voila !

Elle ne se fit pas attendre et descendit aussi vite qu’elle le pouvait, déjà pour pas se prendre le feu au fesse et ensuite pour voir si cette petite lueur au loin était bien ce qu’elle pensait. Alors, le même trajet mais à l’ envers, arbres, buissons, animaux. Tout cela fut passé très rapidement, en tout cas une chose était sur, eux les animaux ne demandait pas leurs restent et parfait vite dans des endroits plus surs. Ils avaient raisons. Après cette marche, Hibana finit sa course…en courant, la lumière était de plus en plus proche, un lac a passé ? Très bien il était facile de le contourner puisque Hibana était a la pointe, elle passa sans vraiment se rendre compte que quelques personnes au loin essayait d’éteindre le feu.

Après cette course qui l’avait épuisé, elle arriva enfin près de l’auberge. Exténuer, Hibana s’adossa contre l’auberge pour reprendre son souffle. En tant normal, elle ne se fatiguait pas aussi vite pour quelques kilomètres parcourus en course. Mais la tout était différent. Elle ne se pressa donc pas pour rentrer. Elle alla s’assoir un peu a l’écart, s’affala et commanda un bol de ramen et un bon thé bien brulant. Elle se remise normalement après avoir retrouvé tout son souffle. Tout était bien calme dans cette auberge. Hibana regarda un peu à droite, à gauche, pas grand-chose d’intéressant. Seulement après quelques minutes un homme entra, Hibana avait déjà commencé son ramen et son thé n’attendait que d’être avalé bien qu’il soit encore brulant. Hibana ne fit même pas mine de se retourner. Mais la personne en question fut a peine quelques pas qu’il était près de la jeune fille :


Hibana tourna la tête doucement, le regard noir. Elle fut surprise de voir cet homme venir à elle. Elle n’avait pas bien l’habitude. Il était assez imposant mais pas mal dans son genre.. Il avait la gueule d’un mec assez puissant et donc cela pourrait être intéressant…

Après ses quelques paroles, l’homme aux lunettes noires resta muet. Entre temps il avait un peu regardé ce qui se passait autours de lui. Hibana, elle continuait de regarder l’homme, et plus elle le regardait plus elle le trouvait bizarre. Enfin, elle ne semblait pas être la seule a le dévisager autant. Et bien que l’homme souriait, Hibana doutais que cela n’était pas toujours très agréable. En tout cas tout cela ne la laissait pas vraiment indifférente, il est impossible de rencontrer un homme de cette classe sans qu’il est quelques chose a caché. Mais, bien sur, s’il n’en était rien la jeune fille serait certainement très déçue.

Merci!

Histoire:
Joki est née au village caché de la brume, elle y a vécus pendant 6 ans. Elle vivait avec ses parents, ainsi que ses grands-parents, sa famille c’était installer déjà depuis bien longtemps, c'est-à-dire a la construction du village. Joki était une jeune fille gentille et calme. Elle était très timide et maladroite, il faut dire qu’elle n’était pas très habitué a se retrouver seule, elle avait toujours été élevé avec sa famille, une famille très aimante, bien que bizarrement les hommes de la famille n’était pas très proche d’elle, elle parlait le plus souvent a sa mère ou sa grand-mère. Joki avait une autre particularité, elle était très différente de ses parents, plus physiquement que mentalement. Oui… elle ne tenait de personne de la famille. Joki ne trouvais pas cela anormal et s’en fichait même un peu…Mais Joki ne pouvait pas non plus deviner tout ce que allait subir a cause de cette différence…

Nous n’allons pas passer en détails la vie de la jeune fille lorsqu’elle celle-ci était calme, paisible et sereine et ou elle était encore complètement plonger dans l’innocence. Mais nous allons quand même un petit tour sur les relations qu’elle avait avec chacun des membres de la famille. Commençons par les grands-parents, Joki était très rapprocher de sa grand-mère, c’était une femme sage et qui en savait beaucoup sur le village et ses habitants. Elle était généreuse et a première vue c’était une femme au grand cœur, bien que souvent pensive. Le grand-père de Joki lui était un homme assez réserver, il ne parlait pas beaucoup et ne sortait pratiquement jamais de la maison familial, il avait déjà prit sa retraite depuis longtemps et avait préféré quitté le métier de ninja pour se consacré a son jeux préféré le GO. Parlons maintenant des parents. Ca mère, une femme exceptionnelle et très attachante selon les pensé et dires de la jeune enfant. Elle était calme et douce, a première vue c’était une femme aussi très sage qu’on aurait pu la comparé a un ange. Un ange avec de très gros problème de santé…Un ange éphémère. Son père…Il y aurait tant a dire sur cet homme. Et pourtant…Un homme sombre, stricte parfois même dur dans les paroles et pourtant très attacher, mais seulement a une seul personne, celle qu’il a aimé, celle qu’il a voulut comme promise… Il était égoïste et ne pensait qu’à lui ou a sa moitié. Joki était très naïve et aimait vraiment beaucoup son père, ce mystérieux en lui l’attirait encore plus. Mais son père lui ne l’entendait pas de cette oreille, il ne parlait jamais a sa fille, il ne lui donnait aucun signe d’amour mais n’était pas méchant avec elle. Et même, il se forçait même de ne pas dire ce qu’il pense tout bas, tout haut. En vérité cet homme a toujours détester celle qui aurait du être sa fille, mais cela Joki le découvrira qu’après 6 ans de vie commune avec.

Passons maintenant au moment ou tous les problèmes de Joki commencèrent.

« Je ne peu pas croire … »

Je me rappelle maintenant parfaitement de ce jour. Il avait fait très chaud et très beau. J’avais 6 ans…J’étais une petite fille très heureuse et combler, j’avais tout ce qu’un enfant pourrait rêver d’avoir…En tout cas un enfant normal. Bien que tout n’ait pas été aussi rose, j’espérais toujours que la tempête se calmerait définitivement. Ma mère était une femme très fragile de santé, ce qui ne l’empêchait pas de bien faire son travail. Elle était ninja ainsi que mon père, ainsi que mes grands-parents. J’étais fière ! Et je croyais bien qu’un jour j’arriverais à leurs niveau. Je pensais que toute ma vie ne serait que simplicité et travail…Une vie de routine ne me faisait pas peur et le gout de l’aventure ne m’attirait pas plus qu’un chien ne voudrais d’une asperge. Pourtant la vie de Ninja était différente de ce que je pensais. Certes un ninja simple et pas vraiment connu du Kage n’était qu’un pauvre Ninja qui ne faisait que servir la nation sans vraiment l’aider de taches importantes. Mes parents était de ceux la. Moi je n’avais que 6 ans, il me restait encore 1 ans avant de rentrée à l’académie. Même si les enfants de mon âge y était déjà rentré, mon père avait refusé pour des raisons qui m’était encore inconnus. Il faisait donc chaud a Kiri, ce n’était pas souvent que le village avait des journées de ce type. J’en avais donc profité pour sortir avec quelques connaissances pendant que mon père était partie en mission, ce jours la sa mère était resté au lit, mais sa non plus, je n’avais pas eu le droit d’en connaitre la raison. Je ne m’inquiétais pas. Je ne doutais de rien et mes pensées n’était plus tourné vers les malaises de ma mère, je savais vivre et être heureuse même quand tout n’allait pas a 100%.

Une belle journée en perspective, il faisait maintenant bientôt nuit et il avait été temps pour moi de rentrée, quand j’y repense…Je regrette encore. Je crois que j’aurais préféré me faire assassiner sur le chemin du retour. Mais après tout le malheur qui allait me suivre durant 10 ans était une chose que beaucoup d’enfant devait supporter après la mort d’un proche, surtout si celui-ci était un shinobi. J’étais donc rentré cher moi, je me rappel de chacun de mes mouvements, chacune de mes pensées…Et ce cri. Un cri qui m’avais fait frissonner mon corps tout entier, un bruit qui me remonte le cœur encore aujourd’hui.
Je m’etais donc de plus en plus rapprocher de l’endroit ou venait le bruit. La porte entre-ouverte…Le simple corps de ma mère étendu sur le lit et mon père assis a ses cotés…

Papa…
A partir de maintenant c’est Negaeru…
Hein ? Papa, qu’est ce que tu…
TU N’ECOUTE PAS ?!

Son regard noir, ses cheveux si sombre, son corps si imposant…Il m’avait soulevé d’une main par le colle et m’avait regarder comme si je n’avais jamais rien été a ses yeux…

Petite batarde !

Je n’avais rien compris a ses paroles, je ne savais pas ce qu’il l’avait poussé a être devenue tout d’un coup si froid…Mes gros yeux rond de différente couleurs le répugnait et cela se voyait très bien, je ne savais quoi faire, j’étais pétrifié. Mes yeux c’était tourné vers le corps de ma mère…sans vie. Que devais-je pensé a ce moment la ? J’étais presque en pleure quand mes grands-parents entrèrent dans la chambre.

L’ange a parler, le roi du mal n’a pas accepter ses faveurs…
Grand-mère…
Ne parle pas à cet vieille folle …

Il me tenait toujours par le col, j’avais peur, je ne comprenais rien…J’avais honte de cette situation. Il me lâcha quand même pour ensuite quitter la pièce, je m’étais jeté dans les bras de ma grand-mère pleurant toutes les larmes de mon corps.

Maman…
Tu n’es plus en sécurité ici ma pauvre petite fille…Ta mère n’est plus, tu ne dois pas être triste de ce départ.
Grand-mère…
Ne pleure plus ma petite fille…
Grand-mère…qui c’est…le roi du mal ?
Va te coucher Miki…

J’ai fais ce que l’on m’avait dit de faire, et le lendemain mes grands-parents n’était plus la. Je me retrouvai seule avec mon père, cet homme qui n’avait rien dit de la mort de ma mère, et encore moins sur le départ de mes deux grands-parents. J’étais toujours aussi perdu, et mon réveille n’avait pas été le meilleur. Mes pleures avais mouillé mon coussin, mes draps était plier et froissé tellement je m’étais retourné. Mon sommeil, je ne l’avais pas trouvé cette nuit la. Il était donc la devant moi, assis sur une chaise à me regarder la tête basse et sombre. Pourtant, il n’avait pas la dégaine d’un homme a tué. Moi qui l’avait pendant toute la nuit blâmer…

Ou est grand-mère ? Et grand-père…

Je n’avais plus peur de l’affronter, maintenant que j’étais ici seule avec lui, j’allais enfin découvrir la vérité sur son compte…et en passant aussi sur le mien.

Tu sais Miki…Les choses ne se passe pas toujours comme on voudrait qu’il le soi. Toi…tu n’étais pas destiner à avoir un bel avenir auprès de ta famille. Puisque je ne suis pas de ta famille.
Hein… ?
Cela te choque ? Je n’est jamais été ton père…seulement un homme qui a accepter l’arrivée d’un enfant inconnu a mes yeux…J’aimais ta mère et je pense même que mon amour pour elle sera eternel. Je pense que cet amour aurait pu aussi se tourner vers toi, j’ai essayé pendant toute ses années…Mais t’est yeux m’en ont empêché…T’est yeux horrible.
Quoi…
Et oui, ta mère n’a pas eu qu’un homme dans sa vie…Tu ne t’es jamais demandé pourquoi elle était aussi jeune ? Haa... on ne sait jamais ce qui peut arrivée dans notre adolescence. Je me demande même comment elle a pu supporter de te mettre au monde…

Cette vérité m’avait frappé comme un coup de poing dans le ventre, malgrés cela ma tristesse n’était plus présente. Cette nouvelle, été certe choquante …Je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire…A quoi ma vie avait-elle était résigner ? Qu’allais-je faire maintenant ? Je n’eu même pas le temps de réfléchir que la porte toqua a grand coup.

Ah les voilas.

Mon père c’était levé, son regarde d’avant était revenue…Le seul regard qui prouvais sa joie…
Mais ne t’inquiète pas petite Miki…Je vais m’occuper de toi comme ta mère l’aurait voulut.
La peur m’avais vite reprit. Je l’avais suivit a petit pas, qu’allait-il faire ? La porte s’ouvrit doucement laissant apparaitre deux garçons. Une paire de Jumeaux, ils étaient tous les deux complètements identiques. A première vue ils avaient l’air gentils et plutôt calme…La nouvelle était qu’ils allaient vivre ici avec nous. Mon sentiment était difficile a exprimer, je n’avais plus aucune famille, je me sentais vide et rejeter par celui qui n’était plus mon père…Il regardait ses deux garçons comme ses propres fils, et moi je ne comprenais pas pourquoi ils les avaient prit avec lui. Chaque jours je me sentais toujours un peu plus seule, ma solitude devenais de plus en plus immense chaque jours et en plus de cela…Ses deux jumeaux aux yeux rouge était tout les deux petit vicieux complètement perturbé…Je me rappelle encore des insultes, du chantage et surtout leurs regards… « Regarde ses yeux… », « De qui tien t’elle sa… ? »… Je ne savais rien de moi, mon père ne m’avait jamais rien dit, tout ce qu’il faisait c’était me nourrir m’envoyer a l’académie et m’ignorer. Pendant ses 10 ans, ma vie était loin d’être un rêve…Ce n’était pas non plus un cauchemar mais devoirs supporter toute ses brimades et l’ignorance d’un homme que j’avais tant aimé. Je ne savais quoi faire et plus les années passèrent plus je grandissais et plus je ne supportais pas cette situation. Les deux jumeaux qui me narguais sans cesse et qui ne ratais pas une occasion de m’humilier en publique. Mais je crois que tout cela n’était que très gentil après les derniers moments que j’allais passer avec eux. C’était pendant une fête au village, un jour ou chaque personne avait décidé d’arrêtez ce faire la guerre…ou presque.

Ton œil nous énerve beaucoup…

Cette impression de ne rien pouvoir faire, de ne pas pouvoir bouger, me débattre. Ils avaient réussi a m’emmener au loin un kunais a la main.

De quel droit oses-tu vouloir nous copier ?
Je…Je ne vous est jamais copier…J’ai toujours eu cet œil…
En plus, tu es menteuse !
Lachez- moi ! Pourquoi êtes vous comme sa avec moi ?! Je ne vous est jamais rien fait…
Ta petite tête de fille bien sage nous emmerdes…Après tout ce que tu a subit tu n’a aucune once de haine contre ton père adoptifs.
Un jour quelqu’un ma dit qu’il ne fallait pas pleurer du départ d’un être chère…Même si je pleure souvent, même si regard c’est inspirer de la crainte…Rien ni personne ne pourra m’empêcher de sourire et d’être heureuse.
Quel discours émouvant...J’en aurais presque lâcher une larmes si cette discussions m’avait servit a quelques chose…
Si tu crois ses belles paroles…Alors oui tu aurais du avoir une raison de pleurer.

Ignorer ma haine avait été la seul façon pour moi de garder la tête sur les épaules. Je devais quitté ce village, je devais connaitre la vérité sur mon compte et surtout je devais donner une petite leçon a ses deux crétins qui on fait du début de mon adolescence un enfer…

Après cette soirée, j’ai pris mes affaires et je suis aller dans la chambre de ses minables, j’avais toujours eu dans l’idée de les tuer mais je savais que cela allait laisser beaucoup trop de traces, c’était stupide et pourtant la seul chose pour laquel il pourrait pleurer c’était leurs cheveux…Je les est simplement couper. Enfin je suis partie…Je ne me suis pas retourné. Je devais retrouvé l’homme qui était mon vrais père, en quittant le village.
J’ai courus tellement longtemps, que j’en avais oublié les raisons de ma fuite… Et en fait ce n’était pas plus mal que cela. Je venais de connaitre la vraie nature de mon père, non en fait je l’avais toujours su…Mais j’avais été trop idiote pour croire que le temps aurait pu changer les choses. J’ai toujours été seule, je n’étais que le fruit d’une relation de jeunesse qui avait mal tourner. Ma peine avait dépassé mon taux de joie depuis toutes ses années. Je ne savais pas ce que j’allais faire, ou j’allais aller…je venais de mettre définitivement fin a ma carrière de kunoichi de Kiri. Mon cœur était lourd, j’avais l’impression de soulevé une masse, j’avais tellement courus, je m’étais tout de même arrêtez…Et j’avais continué à marcher, errant comme un fantôme…