Kaworu Tadake (ou Kaoru Tadake)

Avez vous lu et signez le règlement ? J'ai lu le règlement mais je ne sais pas comment on le signe

Nom : Tadake

Prénom : Kaworu

Âge : 18 ans

Nindô: "Je suis seul, perdu dans l'obscurité...pourtant...il me reste encore un dernier rôle à jouer...(un rôle que je compte pour l'instant garder secret^^)"

Affinitée:

Grade souhaité : Kazekage

Village ou Organisation souhaitée : Suna

Description Physique : (Minimum 5 lignes)
Kaworu n’est pas vraiment quelqu’un de très grand. De taille moyenne, il arbore un visage fin et angélique surmonté d’une cheveulure blonde comme les blés et extrèmement fine. Naturellements en batailles, ses mèches rebelles ont pour habitudes de lui tomber en partie sur le visage et sur les côtés de la nuque, masquant avec légèreté son regard bleuté, brillant d'un éclat quasi surnaturel. Sa peau est légèrement bronzé, et les courbes fines et longilignes de son corps semblent si frèles et fragiles qu’elles ont souvent laissé penser que notre jeune shinobi n’était tout bonnement pas fait pour le combat. Chose totalement fausse car sous ce corps de porcelaine attirant et désirable Kaworu cache une rapidité et une souplesse hors du commun qui pourrait bien en surprendre plus d’un. Extrèmement séduisant (mais c’est qu’il le sait notre coquinou^^) Kawo ne lésine pas sur son habillage qu’il choisit méticuleusement. Certe, il ne s'agit pas de ce genre de parrure exagerée que portent les jeune gens désireux de plaire à une Geisha. Non non, notre beau ninja opte plutôt pour un habillage sobre et discret sans pour autant se dévaloriser physiquement. Quelque fois vêtu d'un kimono rouge ou bleu d'une oppulence discrète mais décorative, Kaworu porte généralement des fringues passes partout. Souvent, il s'agit d'un pantalon noir entouré de bandelettes au niveau des chevilles (juste au-dessus de ses scandale) et d'une sorte de veste sweet de la même couleur que le fute. Un étuis à Kunaïs et à shuriken placé au niveau de la ceinture témoigne de ses origine shinobis. Lorsqu'il ne porte pas son manteau "Godaime KazeKage" ^^,une cape de voyage aux teintes bordeaux lui descent jusqu'aux genou, son bandeau est presque régulièrement noué et mis en évidence autours de son front lorsqu'il ne quitte pas le village pour partir discrètement, et durant un cours labs de temps à l'étranger....

Description Mentale : (Minimum 5 lignes)
Timide et effacer (voir même coincé^^) c’est à peu prêt ce à quoi ressemble notre jeune shinobi. En lui-même, Kawo n’est pas vraiment quelqu’un de méchant, bien au contraire, sa timidité, son calme, et sa douceur en font quelqu’un d’extrèmement attachant. Pourvu d'une extrème gentillesse, Kaworu demeure toujours pret à rendre sevice et à aider son prochain avec le sourir. Modeste, il n'aime pas se mettre en valeur et attache une grande importance aux valeures humaines...le principe du comparatif entre un shinobi et une machine sans état d'âme le touche profondément et l'indispose beaucoup, c'est pourquoi, il agit très souvent en conséquence dans ses choix envers sa nouvelle patrie et privilégie les relations entre ninja plutôt que l'importance d'une mission ou le sacrifice pour une cause matériel et non humaine. Connut comme ayant été par, le passé, l'un des shinobi les plus zélé de Konoha, notre jeune ninja passe souvent son temps à rechercher la perfection absolue dans ce qu’il fait. Doté d’une grande maîtrise de soit et d’une concentration inébranlable, Kaworu est le stéréotype même du potentiel rare et prometteur qu'un village peut se vanter de posseder. Mais…parcequ'un évènement non sans gravité l'a jadis poussé aller à l'encontre de ses idéologies, il a quelque peu perdu confiance en lui. On peut également dire que derrière son côté ninja model, Kawo cache une énorme souffrance mêlée au dégout de vivre profond que lui à apporté son passé. Même s’il est sensible, le Nuke-nin a l’habitude de tout garder pour lui, ce qui en fait parfois quelqu’un de peu bavard et gêné.


Test Rp: (Dépend de la grade souhaité voir dans les règles)

Histoire:

Durant pret de deux ans à vivre aux côtés des membre du clan Tadake, j’ai passé mon temps à m’amuser avec mes amis qui tout comme moi, iront un jour à l’académie, tentant d'oublier dans le jeu mon passé au pret d'Orochimaru. Disons que je n’avais pas encore pris conscience de ce que j’allait devenir, et je crois que l’on peut définir ça par « l’insoucience de l’enfance ». Mais actuellement les choses changent. Mon père adoptif se nomme Kyo Tadake et il est actuellement à la tête du clan, une lourde tache me direz-vous pour un dirigeant comme lui. Mais je pense qu’avec le temps, on doit s’y habituer.

Jusque là, rien de trop important, vous constaterez sans doute que Kaworu est un enfant receuillie par le clan Tadake et commençant à peine son entraînement à un futur qu’il n’a pas choisit. Les premiers mois furent sans encombres. Kawo se contentait de suivre les directives de son père qui comme il l’avait fait précédement avec ses deux fils, entreprenait de former son cadet avant qu’il n’entre à l’academie. Mais ce ne fut qu’un peu plus tard que Kyo se rendit compte du véritable talent de son fils. Plus de facilitées à comprendre…plus de facilitées à raisonner…plus de facilitées à apprendre, bref un géni né…après tout...n'était t'il pas la réincarnation du quatrième...?
Au bout de six mois seulement, l’entrainement du jeune garçon était bouclé…
Je viens d’avoir huit ans et je m’apprette à rentrer à l’académie. D’après les dires de mon père je serais promis à un grand avenir. Bien que cela me comble de joie d’entendre ces mots prononcés de la bouche de cet homme, je m’efforce de garder une attitude approprier et de ne pas le crier sur les toits. D’une part parce que je pense que celui-ci serait déçu de moi, ensuite parce que je ne suis pas du genre à en jeter sur mon compte. Certe je suis peut être un enfant un peu effacé, mais ça a aussi ses bon cotés. Personne pour vous déranger le soir lorsque vous vous entraîner, personne pour vous soustraire à vos devoirs…c’est un peu dure comme conception mais si je souhaite être la fierté de mon clan il me faut prendre plus de responsabilités que les autres enfants de mon âge. Et ce même si j’aspire parfois à vouloir passer du temps libre avec eux…
[...]

Deux jours plus tard, Kaworu entrait à l’académie accompagné de son père. Il ne fallut pas trois semaines à notre jeune prodige pour faire parler de lui. À peine quelques mois passé en cours, et il maîtrisait déjà bon nombre de bases que se doivent de connaître chaque ninjas aspirant à devenir Genin. Pendant ce temps, les choses ne semblent pas aller si bien dans le clan. Après une dispute avec l’HoKage durant un conseille, Kyo Tadake soit dit le tuteur de Kaworu choisit de se retirer de l’ordre ninja. La cause… ? Lors d’une mission dangeureuse le leader de la famille la plus importante du village d'Ikami (pas aussi grand que Konoha mais tout de même important) choisit de se soustraire à ses attribution et sauve la moitié de son équipe en préférant compromettre la tâche lui ayant été affilé. Trois mois plus tard, quelqu’un d’autre est nommé à la tête du clan.
Pendant ce temps, Kaworu termine son apprentissage à l’académie avec un an d’avance et ressort avec les meilleurs notes…

J’ai de la chance, la Team dans laquelle je me trouve se constitue d’un autre Tadake nommé Yoshi et d’une étudiante appartenant au clan Hyûga nommé Jun. L’équipe est je dirais, un peu spéciale puisque les instructeurs ont choisit les trois meilleur ninjas de l’académie pour les répartir dans un seul groupe. Chose étrange, bien que nous ayant tous terminer notre apprentissage avec une année d’avance, nous sommes aussi la plus jeune Team puisque Yoshi possède le même âge que moi, soit dit 10 ans et Jun un an de plus (la moyenne d’âge étant de douze ans). Du côté de mon clan en revanche, cela ne se passe pas très bien, je suis d’ailleurs très inquiet…
Mon père passe moins de temps avec moi et se penche d’avantage vers la politique…oh j'oubliais, mon senseï se nomme Hayate, Gekko Hayate.
[...]

Un an plus tard.

Je suis de plus en plus inquiet, des disputes éclatent entre les membres du clan. Certains soutiennent mon père en contredisant la nature même des lois shinobis. D’autres en revanche affirment le contraire et soutiennent les avis du conseille en expliquant que le code est bati sur des normes qu’il faut respecter, sans ça ce serait l’anarchie, ils ont également parlé de mon cas...mon père m'a expliqué que certains Tadake craignent mes aptitudes en raison de mon passé avec le Sanin des serpents...
La tension est telle que Sarutobi Sandaime en personne va se rendre aux quartiers Tadake pour régler les différents. Oh j’oubliais, je viens de passer l’exam Chuunin avec ma Team. Nous venons tous les trois d’être nommé seconde classe. Perso cela me change un peu les idées car je peux passer du temps avec Yoshi. Notre amitier est d’ailleur plutôt mal vue dans le clan…l’ennuie c’est qu’il est le fils du nouveau chef, celui qui soutient les idée du conseille…moi je m’en fiche, puisque je ne juge pas mes amis sur les actes de leurs proches, mais…mon père voit ça d’un autre œil…ce dernier est allé me voir en privé. Il aurait eut une petite discussion avec Jiraya le second Sanin...apparement je vais suivre une courte formation avec lui durant quelque mois...je suppose que c'est pour effacer les préjugés qui demeurent au sujet de mon lien avec Orochimaru...
[...]

Les mois passent…notre jeune shinobi gravit peu à peu les échelons de la société ninja jusqu'à se retrouver Juunin à treize ans…Yoshi semble lui aussi doté du même talent et termine ses études dans la même unité que Kaworu.

Quant aux relations entre Tadake, elles se sont envenimées depuis la mort du Sandaime. Le clan s’est scindé en deux groupe, il y a l’Ayumi qui soutient les idéologies du leader officiel du clan (il s’agit aussi du père de Yoshi) en affirmant que les anciennes traditions doivent être respecté. L’autre se nomme Kotsu et est mené par Kyo Tadake (le père de Kaworu) qui souhaite changer les fondations même de l’ordre ninja et voir le jour à de nouvelles traditions. Quelques mois plus tard, le Sandaime HoKage est amené à trancher entre les deux groupes et va finalement opter pour l’Ayumi…
Persuadé que sa cause est juste, Kyo Tadake va demander une nouvelle réunion du conseil mais cela lui sera refusé. Une semaine plus tard, il tentera un coup d’état destiné à démanteler l’Ayumi. Forcé de combattre au coté de son père, Kaoru mène l’offensive au nord des quartiers Tadake tandis que son tuteur tente de s’en prendre les rennes de Konoha en défiant directement Sandaime. Au cours de la battaille, notre jeune adolescent rencontre son ami Yoshi. Tenus par les obligations de leurs groupes respectifs, les deux shinobis se combattent à contre cœur. Plusieurs minutes s’écoulent et Yoshi réussit à prendre l’avantage, parvenant à placer Kaworu à sa merci. Au moment de frapper, l’adolescent retient son geste, se remémorant les moments passé avec son ami et lui laisse finalement la vie sauve. Se considérant comme vaincu, l'autre fait demi tours et s’apprète à lancer ce qui reste du Kotsu à l’assaut du palais du HoKage pour aider son père. Ironie du sort, il tombe sur Soroh Tadake (le père de Yoshi) qui lui tent une embuscade. Au cours de la rixe, le jeune garçon se retrouve devant le leader du clan qu’il tue grâce au Rasengan. Pendant ce temps, Yoshi, désireux de stoper son ami étant devenu l’esclave de son père, se lance à sa poursuite et tombe sur le cadavre de Soroh. Un peu plus tard un survivant de la bataille lui révellera que son meurtrier n’est autre que le fils adoptife du renégat Kyo Tadake, soit dis Kaworu, fou de rage, Yoshi se jure de retrouver la personne qui l’a trahit pour laver l’honneur de sa famille…

Je ne dispose que de très peu de temps, il ne me reste plus qu’une vingtaine d’oncles, de cousins et de frères…A l’heure où j’écris ces lignes, nous nous dirigeons vers le palais qui semble désert…j’entends au loin une clameur. S’agit-t-il de la victoire de mon père…ou de celle des ninjas de Konoha… ?
Tout cela je l’ignore bien que je prie pour la première solution.
[...]

Mais…malheureusement ce fut Kyo Tadake qui fut tué…le reste du Kotsu est contraint de fuir pour éviter d’être massacré par les shinobi du village…
Un mois plus tard, Kaworu se retrouve devant Yoshi. Bien que n’étant âgé que de quatorze ans, les deux surdoués disposaient déjà d’un potentiel non négligeable. L'un était un géni de son clan, l'autre...le double du quatrième...
Mais revenons en à notre histoire…désireux de venger son père, Yoshi déclare le premier les hostilités devant un Kaworu rongé par le remort qui tente d’expliquer la véritable raison pour laquelle Soroh est mort…
Dans la forêt de Konoha, l’un des combat les plus sanglants mais aussi des plus beau fait rage entre nos deux prodiges. Les minutes passent, et aucun des deux garçon ne parvienent à prendre le dessus sur l’autre, finalement, Yoshi tente d’envoyer sa Némésis dans les ténèbres en employant un puissant Ninjutsu de type Suiton. Dans un acte désespéré, Kaworu réplique par le Rasengan…l’impacte à lieux…
Lorsque la poussière s’est dissipée, Kaworu constate avec horreur que son bras droit venait de tracer un profond tourbillon dans la poitrine de son ami, tandis que l’autre lui avait entaillé le coté gauche de la gorge sans pour autant lui causer une blessure mortel. Désespéré, le jeune garçon hurle toute sa douleur au monde...

Un ans plus tard…

Pour la première fois depuis presque un an, je viens de remettre les pieds à Konoha. Les choses ont biens changé…
Mon premier reflexe fut d’aller voir du côté des Tadake. Bien que les quartiers paraissent plus vide qu’avant, le clan semble avoir remonter la pente. Désormais une paix que je n’avais plus connu depuis quatre ans reigne à nouveau. Seul les murs et certaine partie des ruelles portent encore les traces de cette période de trouble qui dura cinq ans entre l’Ayumi et le Kotsu… Désormais tout cela ne semble plus qu’être un mauvais souvenir. Ces deux organisation n’existe plus, mais…
Elles ont laissé une profonde cicatrice dans le cœur même du clan des Tadake. Tout cela me dépasse...bien qu'il s'agissent de ma famille d'acceuille, je ne me sent plus concerné par ce clan. D'ailleur je pense n'en avoir jamais réellement fait parti, il ne s'agissait que d'un substitu de famille, une chose dont une personne comme moi ne pourra jamais poséder...

[...]

Le coeur d'un déserteur...

Il fait froid...vous vous sentez glacé, glacé par quelque chose d'incolore...d'impalpable...d'invisible qui vous sert le coeur avec une vivacité trompeuse. La sensation de nausée à disparu depuis longtemps, laissant place à un dégoût profond de vous-même...de votre existence et de tout ce qui s'y rattache. Car au fond de vous, vous saviez...vous saviez qu'il existait jadis un petit angelot..."Seraphin" à la chevelure blonde comme les blés et aussi fine qu'une pluie de rayons de soleils sur l'arrondi aiguisé de votre doux visage d'albâtre...vos yeux reflètaient avec innocence une pureté caline et mélodieuse...une pureté maladive capable de transformer le plus irrascible des Hommes en une crème mielleuse. Vous saviez qu'un jour...un jour lointain a existé un enfant..."caliméro" tendre et radieux dont les journées ensoleillées avaient jadis enflammé votre existence...
Malgré votre jeune âge vous étiez quelqu'un de serviable et passionné...doté de cet étrange et inestimable soupçon de grâce et d'audace...

Rien ne vous faisait peur...vous ne craigniez ni les ombres tapies dans les fourés de Konoha...ni votre première mission...vous n'aviez pas peur du noir et vous ne redoutiez pas l'inconnu. À l'académie, vos camarades vous avaient baptisé le ninja sans peur...

À part...

À part peut être cette peur qui vous habite...et érode les murailles érigées autour de votre coeur...
Parfois vous pensiez à la menace qui vous rongeait de l'interieur comme un dragon d'ébène issue tout droit des méandres insensés de votre esprit. Il y a longtemps vous vous souvenez des histoires que vous vous narriez entre enfants lorsque vous aviez encore une famille. À l'époque vos petits camarades racontaient des histoires de Bijuu vivants dans les fjords ensablées des plages de Kiri...ou les pics enneigés des monts de Yuki...ils parlaient de la peur qu'ils inspiraient...et des conceptions un peut trop naïves qui en ressortaient. Vous, vous restiez indifférent. Car vous saviez que votre peur était une tout autre espèce de Bijuu. Un Bijuu à sang froid...un Bijuu d'une espèce morte qui hantait vos songes et vos rêves les plus fous. Vous vous souvenez de sa voix...une voix glacée capable de vous hérisser les poiles...et vous dresser les cheveux sur la tête.

Le jours vous ne l'entendiez pas...une mission...la présence rassurante de Naoya et Yoshi...une simple sortie entre amis et les réunions entre Tadake à vous la faire oublier. Mais la nuit...la nuit il arrivait que les murailles ériguées autour de votre coeur parviennent à se déliter...et que cette présence froide et morte s'insinue entre les failles de votre esprit pour vous ronger l'intérieur du crâne et vous rappeller comment votre arrivé au monde s'est soldé par l'absence de parents. Comment votre confiance aveugle envers Kyo Tadake vous a poussé à détruire votre propre clan...elle vous rapelle comment Yoshi à brûlé ses dernière force pour finallement vous dire "Kaworu, mon ami...je t'aime" alors que vous le teniez, mourrant, dans le creux de vos bras...elle vous rappelle comment vous avez perdu Naoya...elle vous rappelle ce que vous avez perdu et ce que vous perdrez encore...

Jusqu'au jour ou vous vous retrouvez seul...et que vous réalisez enfin que ce que vous craigniez le plus vient enfin de se réaliser...plus personne n'est là pour vous aimer...et vous n'avez plus personne à aimer...il n'y a plus d'échappatoire...de lieu saint où vous réfugier. Si ce n'est...si ce n'est peut être cette obscurité chaude et rassurante au fond de vous-même. Cette obscurité que vous détestiez temps et que vous avez tout de même finit par embrasser. Et il y a un moment fulgurant au cours duquel vous comprenez enfin qu'il n'y avait pas de Bijuu...pas de voix froide et mortes pour vous dicter des pensées de mort et d'échec...mais qu'en réalité il n'y avait que vous...vous seul...Tadake Kaworu...
Ce n'était que vous...
...vous seul.

C'est vous qui l'avez fait...c'est vous qui avez tué Yoshi. Vous l'avez tué...vous l'avez tué finalement, parceque...quand vous auriez pu l'aider, ne jamais le priver de son père en refusant de vous battre aux côtés de Yoshi...vous ne l'avez pas fait. Vous savez que peut après la mort de Yoshi, dans votre colère, vous vous êtes retourné contre votre propre clan...ce clan vénéneux et sans états d'âme qui durant des décénies n'a fait que se morfondre dans la tromperie pour nager au milieu d'un égoïsme profond destinée à assouvrir ses propres désire aussi fantasque qu'illusoirs...vous les avez tué...tous tué. Et vous saviez que cela nécessitait un sacrifice...la perte de Naoya...car si Yoshi était votre frère, Nao demeurait, demeurt et demeurera toujours votre meilleur ami. Vous deviez vous séparez de lui parce que vous saviez que si il restait au pret de vous, il finirait par être impliqué dans votre histoire et souffrirait de vos actions...
Et c'est pour le protéger que vous avez finit par vous détacher de lui...votre frère d'arme...ce shinobi que vous considériez comme un être cher...vous deviez la laisser là...dans l'incompréhension alors qu'il avait besoin de vous. Et dans le fond, vous vous dites que vous avez agit pour son bien. Mais vous vous trompez. Vous vous trompez parcequ'en faite vous savez que ce n'était pas à "lui" que vous songiez...mais bien à "vous"...

Attention au double post mets ton histoire dans le premier message.

L'histoire n'est pas fini Sasuke alors il faudra que je fasse au moins 4 post

[Suite de l'histoire]

À part...

À part peut être cette peur qui vous habite...et érode les murailles érigées autour de votre coeur...
Parfois vous pensiez à la menace qui vous rongeait de l'interieur comme un dragon d'ébène issue tout droit des méandres insensés de votre esprit. Il y a longtemps vous vous souvenez des histoires que vous vous narriez entre enfants lorsque vous aviez encore une famille. À l'époque vos petits camarades racontaient des histoires de Bijuu vivants dans les fjords ensablées des plages de Kiri...ou les pics enneigés des monts de Yuki...ils parlaient de la peur qu'ils inspiraient...et des conceptions un peut trop naïves qui en ressortaient. Vous, vous restiez indifférent. Car vous saviez que votre peur était une tout autre espèce de Bijuu. Un Bijuu à sang froid...un Bijuu d'une espèce morte qui hantait vos songes et vos rêves les plus fous. Vous vous souvenez de sa voix...une voix glacée capable de vous hérisser les poiles...et vous dresser les cheveux sur la tête.

Le jours vous ne l'entendiez pas...une mission...la présence rassurante de Naoya et Yoshi...une simple sortie entre amis et les réunions entre Tadake à vous la faire oublier. Mais la nuit...la nuit il arrivait que les murailles ériguées autour de votre coeur parviennent à se déliter...et que cette présence froide et morte s'insinue entre les failles de votre esprit pour vous ronger l'intérieur du crâne et vous rappeller comment votre arrivé au monde s'est soldé par l'absence de parents. Comment votre confiance aveugle envers Kyo Tadake vous a poussé à détruire votre propre clan...elle vous rapelle comment Yoshi à brûlé ses dernière force pour finallement vous dire "Kaworu, mon ami...je t'aime" alors que vous le teniez, mourrant, dans le creux de vos bras...elle vous rappelle comment vous avez perdu Naoya...elle vous rappelle ce que vous avez perdu et ce que vous perdrez encore...

Jusqu'au jour ou vous vous retrouvez seul...et que vous réalisez enfin que ce que vous craigniez le plus vient enfin de se réaliser...plus personne n'est là pour vous aimer...et vous n'avez plus personne à aimer...il n'y a plus d'échappatoire...de lieu saint où vous réfugier. Si ce n'est...si ce n'est peut être cette obscurité chaude et rassurante au fond de vous-même. Cette obscurité que vous détestiez temps et que vous avez tout de même finit par embrasser. Et il y a un moment fulgurant au cours duquel vous comprenez enfin qu'il n'y avait pas de Bijuu...pas de voix froide et mortes pour vous dicter des pensées de mort et d'échec...mais qu'en réalité il n'y avait que vous...vous seul...Tadake Kaworu...
Ce n'était que vous...
...vous seul.

C'est vous qui l'avez fait...c'est vous qui avez tué Yoshi. Vous l'avez tué...vous l'avez tué finalement, parceque...quand vous auriez pu l'aider, ne jamais le priver de son père en refusant de vous battre aux côtés de Yoshi...vous ne l'avez pas fait. Vous savez que peut après la mort de Yoshi, dans votre colère, vous vous êtes retourné contre votre propre clan...ce clan vénéneux et sans états d'âme qui durant des décénies n'a fait que se morfondre dans la tromperie pour nager au milieu d'un égoïsme profond destinée à assouvrir ses propres désire aussi fantasque qu'illusoirs...vous les avez tué...tous tué. Et vous saviez que cela nécessitait un sacrifice...la perte de Naoya...car si Yoshi était votre frère, Nao demeurait, demeurt et demeurera toujours votre meilleur ami. Vous deviez vous séparez de lui parce que vous saviez que si il restait au pret de vous, il finirait par être impliqué dans votre histoire et souffrirait de vos actions...
Et c'est pour le protéger que vous avez finit par vous détacher de lui...votre frère d'arme...ce shinobi que vous considériez comme un être cher...vous deviez la laisser là...dans l'incompréhension alors qu'il avait besoin de vous. Et dans le fond, vous vous dites que vous avez agit pour son bien. Mais vous vous trompez. Vous vous trompez parcequ'en faite vous savez que ce n'était pas à "lui" que vous songiez...mais bien à "vous"...

Et c'est dans ce moment fulgurant que vous avez enfin comprit le piège de l'obscurité...la cruauté ultime du monde des ténèbres...

Parce que vous êtes désormais tout ce que vous n'étiez jamais...
Et vous tempêtez, et vous hurlez...et vous plongez dans la seule satisfaction qu'il vous reste. Votre potentiel de géni apporté par la Blood Line de votre étroite proximité avec Namikaze Minato...la force qui vous habite et fait de vous quelqu'un d'exeptionel. Votre seul talent...
Et vous vous servez de cette force pour écraser l'ombre qui vous a détruit, mais vous êtes tellement "moins" maintenant que ce que vous étiez, vous êtes dénudé de sentiments...vous vous sentez vide, triste et las...vous n'avez plus la moindre émotion...vous êtes comme un peintre qui aurait perdu la vue...un compositeur qui serait devenu sourd...vous vous rappellez où était le pouvoir. Mais le pouvoir auquel vous aviez accès n'est qu'un souvenir, et bien que votre fureur glacée et stoïque soit capable d'écraser de nombreux concurents...que votre talents...cette puissance brut, ce chakra fluide accouplé au seau d'Orochimaru vous permette d'accomplir des prouesses impossibles...vous savez que...jamais plus on ne s'attachera à vous...jamais plus on ne vous aimeras...on ne vous dira "mon frère" comme le prononçait jadis Yoshi...on ne vous soufflra "mon ami" comme le faisait si bien Naoya.
Il ne vous reste que votre pouvoir...

Et finalement, vous n'en avez même pas envie.
Finalement, l'ombre est tout ce qui vous reste. Parce que l'ombre vous comprend, l'ombre vous pardonne, l'ombre vous accueille en elle...
Et dans la fournaise qu'est votre coeur, vous vous consumez dans votre propre flamme.

Voilà ce que l'on ressent, quand on est Kaworu Tadake...

...pour toujours.

Les années ont passés...

Un silence tranquille planait autours des grands quartiers du KazeKage...sur le balcon le plus haut de la ville était accoudé le plus beau jeune homme de tout Suna...vêtue d'un long manteau blanc aux Kanji "Godaime KazeKage", la beauté masculine laissait son opulente chevelure d'un blond éblouissant se balader au grès du vent sur son front nacré...son visage aux yeux d'un bleu renversant était souriant, mais...contrastait entre la lassitude et une infinie tristesse...

Sur le balcon de ses somptueux appartements, le KazeKage Kaworu Tadake songeait...et se rapellait avec amertume de son passé...il se souvenait de tout...comment la mort de Yoshi l'avait obligé à errer à travers les parties d'Oto et Suna...de cette marionettiste du pays des vents aux donts incroyable...

Il se souvenait de la manière dont il s'était fait remarqué par les habitants de Suna quelque mois après son combat contre Sasuke, des ninja qui avaient tellement souffert de l'attaque de Nibi...et de la perte de Yondaime. Au final Kaworu avait été prit de compassion pour les shinobi du pays du vent qu'il avait juré de protèger peu après...

Il n'aurait jamais pensé devenir un jour le Godaime...il était tellement jeune...trop à son goût...

Test Rp :

Le désert...aussi chaud qu'un milier de soleil...bien plus meurtrier qu'Orochimaru...que l'Akatsuki...et que toute la racaille de déserteur qui aujourd'hui pourrissent plus de neuf pays diversifier dans ce monde shinobi et autres guerriers et civiles en scandalette et en vêtement de toile ou de sois au style délicat mais démodé. Et dans ce désert, une silhouette...une ombre...quelque chose d'indistinct se profilait. La rougeur de sa cape de voyage au style très similaire aux adeptes de la lune rouge mais différant beaucoup de par la teinte bordeaux, claquait sous la brise tiède des derniers relents de l'après-midi. Ses scandalles au talons entourés de bandelettes d'une blancheurs parfaite foulaient le sol avec légèreté, sans précipitation ni agitation...non...le curieux personnage à la chevelure couleur chatain presque constament ébouriffé émanait une certaine aura de tranquilité et de patience...son visage légèrement bronzé au soleil était doux, bien découpé et respirait la chaleur. le tout accouplé à une certaine absence d'hostilité...une gentillesse rare brillait dans ses prunelles d'un bleu arctique.

Et pourtant, l'homme...l'homme...? Non, l'adolescent était un Nukenin. Un de ceux qui, comme expliqué plus haut, avait été classé parmis les plus dangeureux criminels de rang S. Recherché mort ou vif dans neuf pays différent, Kaoru Tadake était, aux yeux de tous une belle ordure engendré par Orochimaru qui avait jadis mené à sa perte le seul clan, la seul famille lui ayant prodigué de l'affection. Mais ça...ça c'était la version officiel. Officieusement et plus véritablement, Kaoru était shinobi qui avait fait proner l'amour personnel et la confiance mutuel envers se proches avant ses devoirs de samouraï de la paix. Et cela l'avait mené à sa déchéance aux sein de son village...car désormais il était un fantôme du passé traqué inlassablement. Mais quelque part, Kaoru avait choisi cette vie...et s'en réjouissait puisque d'une certaine manière, il vivait très certainement mieux sur le plan morale et avait meilleur conscience, où tout du moins il savait que tous ses actes ne seraient désormais plus ceux d'une machine dénudé d'une certaine humanité. Mais...parceque l'homme en qui il avait le plus confiance s'était servit de son incroyable potentiel pour l'impliquer dans une guerre qui n'était pas la sienne, et parcequ'il avait accidentellement tuer la personne qui, à ses yeux, se rapprochait, non...surpassait les lien affectifs que pouvait nouer deux frères de sang, il était désormais un meurtrier doublé d'un traître à son son village et envers tous son clan d'adoption. Et cela lui faisait mal...il souffrait beaucoup. Mais parcequ'il restait malgré tout un shinobi, parcequ'il avait des objectifs à accomplire coute que coute, il passait outre ce genre de souffrance qui vous consumait à petit feux jusqu'à ce que vous ne constatez que trop tard que vous vous êtes enlisé dans le plus profond des bourbier...le chagrin.

Kaoru avait passé outre le chagrin pour mettre en avant ses objectifs. Et aujourd'hui il y en avait deux qui perduraient. Orochimaru et l'Akatsuki...deux B.A. qu'il se devait d'accomplire en éliminant ce qu'il jugeait nocif pour l'humanité. La première et la plus importante avait très certainement été démantelé de manière très...ambigu par Sasuke Uchiwa. Mais la seconde, elle, se révellait au grand jour. Et c'est en enquêtant sur le premier membre découvert par ses soins dans les registre sacré d'Oto qu'il avait attérit sur les terres du vent. L'homme qu'il avait prit pour cible se nommait Sasori ; Sasori des Sables Rouges pour être on ne peut plus précis. Pourquoi Sasori me direz-vous...? Et bien tout simplement parcequ'il fut jadis le compagnon d'Orochimaru à l'Akatsuki, et parceque c'est sur lui que ce dernier possedait le plus d'information. Après sa mort, il était donc naturel que son héritier accède à ce type d'indic...

Et aujourd'hui, Kaoru marchait en direction de la frontière...il apercevait au loin la ligne végétale qui marquait la limite entre les terre de Suna et d'Ame. Quelque chose de très bizard demeurait également. S'il faisait agréablement...ou plutôt désagréablement beau et chaud derrière, devant tout était gris, et la pluie tombait en permanence. Une rumeur courait d'ailleur à ce sujet...d'après les dire c'était un véritable dieu vivant qui en était la source. Mais légende ou pas, le destin avait voulu que notre beau Kaoru se trouve justement de ce côté-ci, traqué par des ninja du village caché du vent. Oh, il s'en doutait...sa présence n'était très certainement pas passé inaperçut car il y avait toujours quelqu'un dans ce monde, une petite souris pour découvrir votre vrai nature et ce même si vous avez prit toute les précautions requise. Mais, étrangement il ne semblait pas s'en émouvoir. Mais une chose était sur, voir même certaine, Kao ne sous-estimait...et il ne sous-estimerait d'ailleur jamais ses adversaires. Chacun de ses mouvements, de ses actes en eux-même avaient été analysés pas ses soins...car pour un shinobi il est d'ailleur indispensable d'être intelligent.

L'air se fit plus frais...sa belle chevelure vénitienne fut balayé par un vent glaciale, de fines goutes argentées s'écrasèrent sur son visage d'ange. Il avait franchi la limite de Suna...lentement sa silhouette disparu derrière les arbres. Et quelque minutes plus tard, le plus curieux des quatuor fit son entré...sans se douter qu'il était déjà prit en compte dans l'astuce du gamin.

Les choses ne se firent pas attendre...derrière Nin'gyou, il y eut un bruissement de feuille froissé et la silhouette encapé du jeune Kaoru courrut devant elle pour s'éloigner dans les bois au pas de course, bondissant de branche en branche avec un agilité féline. Devant l'un des shinobi le même phénomène se répeta, et ainsi de suite pour le troisième et le quatrième...

En l'espace de quelque minutes, Kaoru venait de les entraîner dans un jeu vieux comme le monde mais...curieusement dénudé d'hostilité et de volonté apparente d'attaquer ou de témoigner d'une quelconque agressivité...non, il sagissait d'une simple fuite.

Le genre de fuite qui incitait irrésistiblement les autres à vous courir après...

Bon tu n'as pas fais le nombre indiqué mais tu as fais une grande histoire donc tu es accepté et car aussi tu es dans les premiers membres inscrits,bienvenue^^.